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THEORIE DE LA TETRAVALENCE
THEORIE DE L'EMERGENCE
THEORIE DE L'EVOLUTION
THEORIE DE LA DEFINITION
THEORIE DE L'UNITE
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THEORIE DU REEL
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davyhoyau d:30428/
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AVANT PROPOS :

Les propositions suivantes ne sont compatibles entre elles.

La "Théorie du Réel" est donc une judicieuse combinaison de nombreuses théories.

Ce serait très facile de tout décrire rapidement, avec un petit dessin, mais si votre esprit est vide, le petit ddessin ne vous evoquera rien.

Tout l'intéret de l'Experience est de cerner petit a petit ce qui pourrait servir à entreprendre ce joli petit dessin final.
Bien sur, selon chaque cerveau, ce petit dessin s'exprimerait différemment, mais au sein d'une meme planete au moins, nous pourrions nous entendre sur des principes essentiels

Parmis lesquels : la Logique

Cette logique est tétravalente, c'est l'ESSENCE de la théorie.
Son fonctionnement est l'EMERGENCE, qui a lieu a toutes les echelles.
Il est certain également que cette émergence est le fruit d'une EVOLUTION
C'est en utilisant la seule définition que notre language et notre structure de pensée accorde à ces théories que nous sommes a memes d'entreprendre une DEFINITION du "Tout", et cerner son UNITE.

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PART ONE : S'ENTENDRE
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language

l'Axe : si, dans mon langage, nous admettons une theorie, tout le langage tiendra desormais compte de cette theorie, car celle-ci apporte une dimension nouvelle au sens d'autres mots. Si je dérive de l'axe de la théorie, tout le langage prend une autre tournure, et pour etre comprise, la nouvelle théorie doit se retrouver dans le nouveau langage.
Exemple pour une idée simple difficile a décrire :
Dans mon langage, je dis : la pierre tombe. Aristote est d'accord car pour lui "Le lourd et le léger sont par nature et par essence définis l'un par le bas, l'autre par le haut" - physique VIII, 4, 28.
Mais pour Gallilée les memes mots signifient : "L'accroissement de la vitesse augmente avec l'extension du temps."
Imaginez alors si Aristote demande a Gallilée :
- crois-tu que l'arbre s'enracine car il est attiré par le haut ?
Gallilée répondra:
- l'acroissement de l'arbre augmente avec le temps! Dans ce cas de figure, le langage est invalide à cause d'une mauvaise symbiose, ou dysharmonie, parce que les mots utilisés n'ont pas le meme sens.

Lorsqu'on parcours l'histoire de la Science, l'Axe apporté par une philosophie détermine grandement les solutions scientifiques trouvées.
Inversement, les solutions trouvées influencent grandement le langage.
ET C'EST CETTE BOUCLE QUE NOUS CROYONS ETRE LA REALITE

Finalement, on distingue 4 grands corps de la recherche scientifique :
- la science de la forme de la pensée
- la science des mathématiques
- la science de la physique
- la science de la biologie
... qui doivent nécessairement puiser dans une meme Essence, qui est la Nature.

Par exemple si je remplace "vitesse de la lumière" par "vitesse limite", pensant qu'elle peut varier dans d'autres cadres suceptibles d'exister, de nombreuses experiences ne seront pas cohérentes avec cette limite ; mais en revanche cette limite designée comme cadrée permettra de resoudre par une autre voie les illogismes constatés. suite a cela, dans tout le langage, sera repercuté cette nouvelle connaissance de "vitesse limite due au cadre", et on pourra egalement repercuter cette nouvelle connaissance dans de nombreux autres cas, c'est à dire le cas d'une "limite", impliquant l'existence d'un cadre d'observation.
Cette information nouvelle nous aura enrichi et sera démutipliée par nous car nous pourrons la projetter en une multitude d'applications. L'évolution est en marche.

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vocabulaire

Il faut bien avoir a l'esprit la notion de "ESSENCE".
Systématiquement, avec ce mot il faut considérer que les sensations que nous percevons, l'image d'une montagne, l'odeur d'une fleur ou le vertige, préexistent au sein d'une Dimension, et qu'elles sont acheminées à l'etre conscient, qui les reçoit en fonction des stimulis qu'il perçoit, et les interprete en fonction de ses concepts et de son langage, qui sont personnalisés.

L'EMOTION est universelle, mais nul ne la vit de la meme manière, c'est à dire que la perception dépend de celui qui perçoit, de sa structure de pensée. Nous considérons donc qu'une Essence PRE-EXISTE (nous discernerons plus tard ce qui est vrai et ce qui est faux dans la notion de "pré-exister").
L'Essence est donc à prendre en compte dans toute proposition, elle peut etre la gravité, le temps, ou une notion psychologique. Il faut se questionner sur la Nature de ce qui amene la circonstance a analyser.

Une autre notion importante, est le "cadre". Pour etre limpide : chaque entité (réalité au sens physique ou psychologique) possede autour d'elle un cadre a l'interieur de laquelle cette entité est VALIDE. Elle ne peut se déplacer hors de son propre cadre, puisqu'elle existe à l'intérieur de lui. Si le cadre est invalidé, l'entité est invalidée et de fait, et n'existe plus.
Cela implique donc que le "Cadre" est d'une grande importance car il synthetise Tout le réseau de réalités qui sont nécessaires a l'existence d'une proposition.

Bien sur, pour qu'un petit pois existe, il faut par extension que l'univers entier existe tel qu'il est déjà. Le cadre aura donc l'avanatage de limiter volotairement des conditions prises en compte pour qu'une proposition soit valide. Ainsi on peut limiter a volume de la terre, a un jardin, ou a une assiette selon ce qui est impliqué dans la proposition.

Par exemple, la pathétique phrase : "l'homme peut tuer l'homme", que la tradition populaire dissémine dans les consciences sous la forme de l'adage fallacieux : "l'homme est un loup pour l'homme".
Le premier reflex bienvenu est de répondre la plus vite possible : "C'est Faux ! L'Homme ne peut Pas tuer l'Homme !"
ICI, il faut faire l'exercice de cerner les toutes petites limites dans lesquelles cette proposition est vraie : en cas de démence, ultime légitime défense malencontreuse, et puis je crois que c'est tout.
Au-dela de ce cadre que nous pouvons définir par un éclair psychique la réalité sus-citée n'est plus vraie, elle n'est plus VALIDE.

Le cadre dans lequel un crayon existe est : l'écriture, le carbone, le message, + une activité (optionnel).
Car en effet il est mille fois plus avantageux de diviser judicieusement ce qu'on cherche en un nombre reduit de parties.
Le choix de ces quelques valeurs doit etre dicté par la meme logique que celle qu'on utilsera pour l'experience.

admettre (Admettre la notion "il est très probable" comme : il en a toujours été ainsi) ce que sont les parties :
Il est très probable que si il y existe "quelque chose", cette chose aura un nom, existe dans nos idées, et possedera des parties, de la meme façon qu'un Pays "possède" des Habitants.
Il faut donc considérer dans ce qu'on ignore, qu'il existe des sous-parties, qui ne sont pas des répliques du contenant en miniature, mais des entités, toutes différentes les unes des autres, et dont la symbiose définit l'ensemble.
<<Que sont ces "habitants" pour ce "pays" ? Est-ce eux qui "créent" (définissent) le monde qu'ils voient?
De plus, ils ne vivent pas en symbiose ?>>
Désolé, nous allons devoir considérer que les humains vivent en symbiose et définissent à eux tous l'ensemble de l'univers qui les contient.
En effet, ce qui justifie l'existence de tous les humains, est une symbiose entre, d'une part, les quelques explications scientifiques a notre disposition, et d'autre part ce que nous ignorons.
Volontairement je limite ici les distinctions, ce que la tetravalence doit pouvoir regler facilement.
Et nous justifierons cette symbiose.

ce qui défini l'unité
Il est très probable également, qu'on soit amené à "discerner" une chose d'une autre, de la meme maniere qu'on distinguera deux pays. Alors meme qu'au début on ne constatait que de la terre, de l'air et des hommes, une géopolitique a fait se discerner les différents pays. j'insiste sur le fait que le discernement est une révélation puissante, qui recquiert une longue évolution dans la profondeur d'analyse.
L'unicité existe jusqu'à ce qu'on ai défini une frontiere. Définir une frontière, c'est admettre qu'il existe "autre chose", et c'est donc "perdre" son unicité.

Ttoute la magie de la logique tetravalente sera de considérer "TOUT CECI DANS SON ENSEMBLE".
c'est donc une voie royale pour définir d'une façon certaine une Unicité, c'est à dire une chose réellement existante, elle et ses parties, mais elle seule, cadrée par l'analyse.

Le saut psychologique
Il est très probable qu'en toutes circonstances, il y ait 2 manieres d'aboutir a meme un but.
Il faut considérer toute chose ainsi.
Il y a la voie par terre, et la voie des airs.
Pour aller a paris, je reve d'avoir un appareil volant.
Pour resoudre un pb de math, je reve de reduire la complexité du probleme a sa plus petite taille.
Cette notion est vrai comme PI, mais le mieux serait encore de la demontrer.
En fait, la réalité est si grande, qu'on ne peut la toucher qu'avec l'esprit.
Il est donc inutile de vouloir demonter les atomes : il faut se questionner.

bien comprendre
C'est à dire que pour démontrer la tétravalence, il faut faire ce "saut" d'oiseau, une abstraction psychologique.
Je me trouve donc dans la situation de celui qui a une bonne démonstration a faire, mais avant de la faire, il faut admettre comme Vraies des propositions préalables. Certaines, bien qu'originales, sont au croisement de considérations philosophiques de l'ordre de la sagesse ou la vertu. champs d'explication qui sont tout simplement ignorés a l'heure actuelle par la science, il faut donc faire appel au Bon Sens. D'autres, ce sont creusées au fil du temps. Parfois etranges a decouvrir, elles expriment l'idée de ce que j'ai cru comprendre

2 langages, 1 pensée
Il s'agit d'une histoire vraie (vécu à la tv), la confrontation d'un indien, ayant hérité de sommes de connaissances ancestrales sur le cosmos et la science des plantes, avec un scientifique (à l'esprit ouvert) lui montrant les dernieres simulation de collision de galaxies a une echelle du temps dont l'indien n'arrive pas a prendre conscience. Il est presque en tunique avec sa lance dans le laboratoire !
Il croit que cette simulation est ce qu'on voit avec le telescope, avant de finalement comprendre la notion d'echelle de temps.
Quand le scientifique montre un grain de poussiere sensé représenter un Soleil, voyageant a 1000 Km/sec, l'indien se permet ingénument une hypothese qui passa totalement inapercue.
Il demanda : "croyez vous qu'en réalité, qu'au lieu d'exploser, cet objet serait en réalité de plus en plus loin et petit ?
C'était génial ! Le scientifique n'osait meme pas l'initier à la notion de maillage, et se contenta de lui montrer une image desastreuse de collision entropique. Les indiens n'étaient pas satisfaits par cette vision, mais en tirèrent une Analyse.
"En entrant ici j'ai eu des frissons. Mais finalement je suis satisfait. Je vois en cet objet qui s'agite gracieusement la vie du mouvement. je vois comme il est mort et vie à la fois. Je me demande si avant d'entrer ici je ne savais pas deja cela. Ce que vous voyez avec votre technique je le vois aussi. Je suis ravi que cela vous guide."

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PART TWO : 4 VALEURS ET UN CADRE
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Les 4 valeurs

il est dans la croyance populaire que tout peut se réduire à une équation mathématique.
Or, les Math sont insuffisants en réalité, pour englober les problèmes philosophiques.
Alors, sur quelle rationnalité se base la philosophie ?

Quelle est la nature de la nature ?
L'Evolution est-elle rigide ou evoluante ?

Toute proposition prendra systématiquement 4 valeurs (et non une sur 2 possibles).
Toutes proposition, c'est vraiment Toutes les propositions (un mot, une idée, un concept), et pas seulement "x".
Ces 4 valeurs se déduisent spirituellement, par les axes de la logique tetravalente.
Une fois définies, ces 4 valeurs doivent etre associées au moyen d'une logique tetravalente, aussi.
Il faudrait connaitre la reponse au probleme pour déterminer les 4 valeurs de son calcul, étant donné que c'est cette logique qui permet de définir ces quatre valeurs.

peu à peu, l'expérience dessine un schema pour ces 4 valeurs :

- ce qui est dimensionnel
- ce qui est réalisé
- ce qui est conformant
- ce qui met en dependance.

En réalité il faut ordonner comme cela :
1- ce qui est conformant (passé thorique)
2- ce qui est dimensionnel (present)
3- ce qui est réalisé (futur theorique)
4- ce qui lie les 3 precedents

Et en fait on peut déclasser et reclasser :
1- l'essence : ceci est non dimensionnel et préalable. Cela défini ce que nous percevons, car nous percevons l'essence d'idées qui préexistent. Seul notre langage et notre logique interprètent individuellement ces sensations, mais elles sont issues de patrons préexsitants qui sont les memes pour tous. Il faut identifier cette entité sans masse, nommée EMOTION ou ESSENCE. Dans le cadre dimensionnel, il faut s'interroger sur ce qui amene l'existence de l'objet.
2- l'objet : ceci est technique. il existe en tant qu'assemblage d'assemblage de particules elementaires, assemblage simple, ou meme la particule elementaire physique, BRIQUE UNIQUE de toute matière. il faut donner un nom a cette entité.
Il faut connaitre sa mecaniquue et ses eventuelles dependances.
Au-delà d'une certaine densité de complexité comparé à la masse, cet objet obtient des propriétés d'organisation autonaume.
Il est dit "vivant" : plantes, animaux. Après un autre stade d'Evolution, il est "conscient". A ce moment il faut connaitre la psychologie.
3- l'idée : ceci est succédant a l'activité. Tout aussi adimensionnel que l'essence (sans temps ni masse), elle lui est aussi opposée qu'elle est opposée à la réalité, c'est à dire non palpable, non superposable. Elle est opposable a l'essence, car à l'inverse de l'essence, on ne peut la définir, seulement la préméditer. On peut y voir le but.
4- La relation. C'est ici qu'intervient toute la magie. Il s'agit d'une valeur qui peut se situer dans n'importe laquelle des 3 parties précédents. De meme que nous utilisons des Opérateurs en mathématiques, cette valeur sera l'opérateur qu'on appliquera a ces trois valeurs.
D'une maniere usuelle, le Liant, qui se situe en realité dans un des cadres défini, devra etre considéré comme se situant (également) dans aucun de ces cadres, comme étant Aussi absolument extérieur au cadre.
Ce n'est qu'une considération de langage, mais c'est surtout la démonstration du 'saut' accompli par cette logique, qui est de considérer une partie comme existant deux fois, dont une fois à l'extérieur du cadre.

Ne soyez pas surpris que le "saut psycholigique" soit à faire a différents niveaux, car voyez-vous (avant meme que nous le démontrions vous pouvez le prédire), la "trame" est répétitive.
La logique tétravalente est une théorie nécessitant un saut psychologique, utilisée au moyen d'un tout autre saut psychologique (c'est à dire par un cadre extérieur à elle-meme).
Bien que FONDAMENTAL, ceci n'est pas le plus important.

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Le cadre de référence (Dimension)

Toute démonstration repose sur un cadre de référence. Un enfant qui empile des cubes dessine la notion de verticalité, ce qui passionne l'enfant sans qu'il ne s'en rende compte. Dans son univers, la verticalité n'est pas une notion connue, il n'existe, pour lui, que la notion d'empiler, et la notion d'organisation des informations recueillies qui permet de réussir finalement a empiler convenablement.
Sitot ceci apprit l'enfant sera bien alliéné que de vouloir monter une pile jusqu'au plafond. Car c'est bien avant, que la démonstration de la verticalité aura été démontrée, et ASSIMILEE.
Une personne très intelligente pourra comprendre la verticalité au bout de 3 cubes et un essai, (il ne faudra donc pas croire qu'il s'ennuie ou qu'il n'a pas des reflex normaux).
Mais qui peut la déduire, à la vue d'un seul cube, ou de plsieurs cubes etalés ?

Dans notre vie, comme dans la Métaphysique puisque cela se situe hors de notre cadre, nous serons inconscients comme en regardant un cube, sans comprendre pourquoi il est si etrange, tant qu'on ne fait aucun effort mental.

Question : Qu'est ce que le cadre ?
Réponse : Il se définit de manière tétravalente.
Ah ! ba merci !

A quoi est-ce comparable ?
C'est le "bond" qu'il faut commetre pour passer d'une "dimension" à une autre. (à ne pas confondre avec le "saut psychologique" qu'il a fallu admettre pour admettre la tétravalence (qui elle meme comporte une valeur spirituelle)).

Dans l'exemple du cube, la prise de conscience de la verticalité détermine tout le Cadre, toute la Dimension dans laquelle l'expérience avait lieu.
On défini donc l'activité d'assemblage des cubes à l'intérieur d'une Dimension.
Cette dimension nous l'avons nommée comme nous l'avons pu.
Au cours de l'existence de cette Dimension, qui n'appartient qu'à l'enfant qui a joué aux cubes, il s'est passé trois stades : l'analyse, l'EMERGENCE (ou prise de conscience), et l'assimilation.

Sorti de son contexte, par exemple le papa reçoit un fax de la maman : "verticalité analysée", on pourra croire que l'enfant a inspecté le mur.
C'est cette DISTANCE qui sépare la dimension dans laquelle se trouve le pere, et cella dans laquelle se trouve le bambino.
C'est la meme distance qui éloigne tant le monde réel et le monde médiatique (télévisé et journalistique).
La distance "dimensionnelle" influe sur la qualité de la transmission d'information.

Nous avons vu préalablement la différence qu'il y a entre une découverte endogène (compréhension des parties) et une découverte exogène (prise de conscience du cadre, de la Dimension).

D'ores et déja nous pouvons présenter la tétravalence comme une activité utilitaire, dont on peut définir le cadre si on a les composants, et dont on peut déduire les composants si on connait le cadre.

Retenez de la notion de Dimension la maniere dont est accompli le "bond" vers une dimension englobante ou constituante, un saut qui ne peut etre que endogène ou exogène (dans le cadre de l'Evolution).

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petit rappel

Dans l'usuel, toute mesure est rapportée à un cadre décidé arbitrairement pour toute chose.
Comment définir une unité de longueur universelle, à laquelle se fier avec la plus grande certitude ?

qu'est-ce qui définit le Cadre de la simple "mesure" ?
Quelle est "l'Unité" de mesure ??

La suestion semble tellement etrange qu'il est normal que l'on ait été amené a établir des cadres arbitrairement (Euclide).
MAIS CA L'EST BEAUCOUP MOINS de s'y fier avec une grande certitude et de s'en servir pour appuyer une Démonstration.

Dans le cadre de la tétravalence, la tétravalence s'affirme comme vraie par elle-meme. Une association tétravalente fournit une définition fonctionnelle pour un groupe de propriétés fonctionnant ensembles.

Mais cette définition, ce "tout" qu'est le réel et son contexte, n'est en rien une Unité. On l'appelera, isolément, une Entité, considérée sans conscience de la Dimension dans laquelle elle existe.

Logiquement, donc, la logique tetravalente est a-meme de créer sa propre echelle de mesure,
mettant un terme a tout probleme de relativité,
puisque la mesure est impliquée par l'echelle de ce qui analysé. L'echelonnage se fait en raison du Cadre.

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PART THREE : LA TETRAVALENCE
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Projection

la tétravalence est une mécanique associative de valeurs non superposables entre elles.
Elle permet de comprendre un cadre (ou dimension) grace a 4 seules composantes, ou bien de déduire 3 composantes à partir d'une et du cadre.

En mathématique, deux valeurs non identiques sont non superposables.
En tétravalence, deux valeurs ne peuvent etre superposables, bien que certaines d'entre elles puisse etre définies comme identiques.
On peut donc attribuer une "personnalité" à une valeur, faisant qu'un "1" et un autre "1" ne seront pas identiques, puisqu'ils appartiendront a un réseau de réalités différentes.

En logique tétravalente, ces deux UN vont se référer a des cadres respectifs. Ainsi, si j'additionne une pomme et une poire, je vais obtenir ... 2 FRUITS. En réalité, plus qu'un nouveau dessert, j'aurais considéré Ensembles 2 unités , ce qui m'a permit d'établir une Dimension (le fruit).
En mathématiques, il est tout simplement impossible d'envisager l'addition REELLE d'une pomme et d'une poire. Par convention, au mieux, nous attribueons à chacun une valeur, toute relative, par exemple leur poids, et nous allons additionner leurs poids respectif. En mathématiques, une pomme et une poire peut etre égal à 500 grammes.
Je crois que nous sommes loin du compte
Il sera donc bien particulier d'utiliser les mathématiques, cela ne concernera jamais que des valeurs attribuées artificiellement. a seule fin d'une représentation géométrique ou graphique.
MAIS Dès cette "représentation" obtenue, bien ingénu est celui qui croit voir la REALITE.

Aucun philosophe, aucune spiritualité ne trouve actuellement de resonnance ou partie commune entre son cadre d'évolution et ce qui cadre l'existence meme des mathematiques.

Attention
Nous avons vu qu'une progression de la conscience vers une dimension endogène ou exogène peut se faire d'une manière tétravalente,
MAIS : 1+1=2 seulement si nous sommes d'accord sur le sens accordé au signe +
Nous avons évoqué que seule - SOIT 4 composantes - SOIT un cadre et 1 composante permet de définir l'autre de manière tétravalente. Et sans tétravalence, nous sommes comme l'enfant qui découvre le cube pour la première fois.

Au passage
Pour admettre la tétravalence, pour qu'elle ait un cadre, un repere dans l'espace et le temps, nous devons admettre la presence perpetuelle d'une dimension ultime, Dieu (temps nul, lieu nul). Il Con-cerne tout le Cosmos. Il est TANGENTIEL à la Logique tétravalente. Cet usage est purement utilitaire, dans le but de VALIDER la tétravalence, sans quoi elle ne serait pas cadrée elle-meme, et donc Invalide de Fait.

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Théorie

Opérandes (3 aspects d'une meme realité) :
- l'essence : synthese de ce qui amene la proposition, la nature
- l'objet : considéré avec ses fonctions
- l'idée : le but, la tendance de la proposition

Opérateur :
- le liant : ce qui relationne les 3 precedentes

Opération :
Prenez les trois premieres valeurs et associez-les MENTALEMENT en fonction de la quatrieme.
Faites ça naturellement.

Résultat :
définit le cadre de realité

La vue ci-dessus concerne la REALITE du RESULTAT d'une OPERATION SPECIFIQUE.
Ainsi, dans une projection psychologique, nous pouvons imaginer que le monde est un nuage de ces petites Réalites, situées en tous lieux de l'espace et du temps, et intercombinées entre elles en entités plus complexe (ceci est assez difficile a imaginer, mais aussi fugace que soit cette apparition dans votre esprit, j'espère que vous la comprenez car elle est très utile).

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ne partez pas tout de suite :
OUI, il est bien demandé de REFLECHIR.
NON, cette méthode n'est pas sujette a une immense variété de SOLUTIONS
C'est uniquement AU FUR ET A MESURE que finissent par se solidifier des DEFINITIONS, ainsi que finalement des PROCESS tout entiers.
VOUS AUSSI, comme Spok dans Star Trek, vous vous entendrez dire "ceci n'est pas logique" sur un ton monocorde et presque agacé, lorsqu'on essaiera de vous envoyer de la poudre aux yeux, et que vous aurez fait l'effort de visionner la profondeur de chaque proposition avec soin.

L'opération présentée de la sorte, avec un petit dessin enfantin et un espèce de jeu de mots croisés, est non scientifique au sens habituel du terme. Pourtant si vous vous etes arrete de lire pour y penser, vous verrez qu'en fait il est difficile de penser consécutivement a ces trois valeurs. C'est comme passer du coq a l'ane, faire un grand ecart psychologique.

Il est important de nous entendre sur la réalité du sens des mots, sur une "Unité de mesure" du language lui-meme.

Bien souvent, les gens butent sur la définition qu'ils donnent a un mot, sans s'apercevoir combien elle est erronée, et éliminent par voie de conséquence des solutions qui auraient pu leur etre profitable.

Ici, il est question de considérer une définition, systématiquement, avec ce qu'elle contient d'essentiel, de matériel, d'idéal, de se créer à la volée l'Idée qui va lier ces trois valeurs, et d'en déduire le cadre de référence, dans laquelle la propositon EXISTE.

Grace à cela, nous pouvons construire des reperes solides, et escalader petit à petit dans la Compréhension.
Les reperes sont solides, car a force de propositions, on repasse souvent par les memes reseaux de definitions, et comme ils ont déja été établis, on peut soit les reprendre, soit les corriger.
Si une correction est apportée (au début il y en a beaucoup et c'est déprimant !) .... cela reconditionne toutes les anciennes propositions.
Nous constatons que ce PROCESSUS EST l'EVOLUTION ELLE MEME.

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PART FOUR : LA DEMONSTRATION
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avant propos : la gratuité du but
qu'est ce qui est le plus civilisé ? S'évertuer à faire qu'une entreprise fonctionne magnifiquement pour son enrichissement personnel, en esclavant du monde, participant a une société tres peu rentable et très injuste, ou bien faire la meme chose mais dans un but d'intéret partagé ?
Si l'ensemble du réseau bénéficie de l'activité d'une personne, n'est-ce pas mieux que si cette personne seule bénéficie de son propre talent ?
Lao-tseu dit : "le sage est celui qui donne car ainsi il possede".

DONNEZ VOUS DU TEMPS

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associations
Définir de manière tétravalente, c'est procéder de la manière suivante : "et donc, ici je dois m'attendre à voir ceci, j'en suis sûr car c'est LOGIQUE". Et c'est logique car peu a peu on a admit la tetravalence.
Très vite, il devient déraisonnable de considérer une "chose" sans entendre simultanément ce de quoi elle est a la croisée et le carde dans lequelle elle existe.

Il est question ici de donner du sens aux mots, afin que leur usage soit juste.

=======big bang=======
Après le Big Bang, présenté comme une double explosion-implosion simultanée (4 impacts), l'Univers s'est repandu simultanément vers des dimensions exogènes et endogènes, sans jamais pouvoir prendre "conscience" de ce qu'il est, c'est à dire sans jamais pouvoir exister dans un quelconque cadre.
enfin en apparence.
Nous avons déja fait abstraction de ce petit "défaut" de la tétravalence, en admettant l'existence d'un cadre à tout : Dieu (ou toute position supérieure, que l'on pourra egalement considérer comme étant la symbiose fonctionnelle de TOUT, un non-lieu, un non-moment que nous devons bien situer).
C'est, à l'heure actuelle, la seule Dimension dans laquelle nous pouvons considérer cette activité.

=======la couleur=======
Le Noir serait l'absence de couleur, c'est à dire qu'il existe sans meme que rien n'existe. Il existe seul au monde, sans nécessiter un quelconque cadre pour justifier son existence. Nous pouvons l'assimiler au "néant".
Le blanc, en revanche, est une Couleur, c'est à dire que pour la définir, il ne faut non pas additionner toutes les "couleurs" (ou variantes de la lumière), mais "exister en tant qu'etre humain conscient capable de définir et distinguer le phénomène de couleur".
Le noir existe en tant qu'essence, et le blanc existe en tant que "idée". Ces deux "couleurs" existent également dans notre dimension. Ceci est la démonstration qu'une réalité peut exister simultanément dans différents cadres.

Egalement, ceci demontre que si on inverse le cadre de realité d'une propoition, on inverse la realité qui est valide en son sein ; on la transforme.

J'utilise des valeur très psychologiques, mais si je m'étend à définir chaque terme utilisé d'une manière tétravalente, si je pars dans 4 analyses simultanées et endogènes, et j'aurais une bien meilleur CONSCIENCE de la REALITE de ce qui au début n'était que "psychologie". Peut-etre, à un certain stade, découvrirais-je un illogisme, une impossibilité d'avancer. Alors, je serai amené à revenir au NOEUD précédent, et ainsi à INVALIDER dans les 3 autres branches tous les stades se trouvant en-dessous ce ce Noeud.

=======ordi=======
Un ordinateur tétravalent, aura une logique linguistique.
Il sera capable d'apprécier, meme un niveau rudimentaire, le facteur émotif contenu dans n'importe quel fait.
HAL existera ! il aura des sentiments, mais il ne sera qu'une machine. MAIS son cadre de référence sera celui le l'humain, + l'humain. Conscient de cela, HAL ne fera jamais de mal a une mouche, car il n'aurait pas la betise de supprimer ses geniteurs. Mais il est vrai qu'il y aura conflit en cas de survie, et qu'il serait criminel d'insuffler des fausses valeurs afin d'éviter ce "défaut necessaire".
Répercutée d'une manière imbriqué (le modele est fractal), l'induction d'une erreur peut endommager gravement tout le système.
Ce phénomène est amplement comparable à celui du Virus.
Un virus se propage car il existe au sein d'une réalité tétravalente.
C'est pourquoi, un défaut aussi minime soit-il, peut DEGENERER.
Faussant l'équilibre, rendant injustement INVALIDES de nombreuses fonctions, le Virus détruit autant ce qu'il touche que tout le cadre qu'il contamine, SANS MEME LE TOUCHER DIRECTEMENT.
Quand on coupe une branche, ce sont toutes les feuilles qui tombent.

=======brain=======
C'est aussi le meme processus qui guide notre cerveau.
Comment une idée peut naitre, grandir, et prendre de plus en plus d'importance dans le cerveau ?
Explication : Au fur et à mesure que des définitions sont accomplies, de nouvelles déductions permettent de s'attendre à une réalité. Une fois cet état d'esprit, le cerveau emmagasine de l'extérieur, inconsciemment, l'essence dont il a besoin pour continuer. Il VOIT les FAITS et se les approprie pour les utiliser comme MODELES.
A chaque fois qu'une opération est accomplie, elle révèle son propre fonctionnement. Ce fonctionnement est ensuite constaté par similitude avec d'autres canevas, et permet ensuite la résolution d'autres problèmes plus complexes, COMME S'ILS N'ATTENDAIENT QU'UNE SEULE ACTION POUR EMERGER.
Peu à peu, une idée nait dans l'esprit humain.

=======music=======
symbiose, rythme, et harmonie sont les composantes. La symbiose Résonne dans le Liant.
En plongeant dans une analyse endogène, la valeur "symbiose" resonnera jusqu'à l'infini si la musique est parfaitement Belle.
Comment a évolué la musique ? comment sont nés les courants ?
par l'addition des simultanéités. si un grand nombre de musiques projette un univers psychique du meme nom, on nommera ce courant et le considerons comme un seul Objet.
Si bien sur il sera ILLOGIQUE de demander a un artiste pourquoi il ne suit pas un courant, si le courant évoqué est différent de celui de l'artiste.
De plus, n'importe qui peut constater, en tapant un seul mot-clef sur internet et en obtenant toutes les chansons nommées avec ce mot, qu'il vient purement et simplement de créer une nouvelle Dimension. Ce moment est celui de l'Emergence, car l'information étaot prete a émerger, moyennant un Relationnement.
Cette dimension pourra etre cultivée jusqu'a s'enrichir, tant et tellement qu'elle finira meme par se scinder.
C'est toute la dimension Musique qui est heureuse, quand vous tapez un mot-clefs et que des reponses organisées s'affichent !

Ne croyez pas trouver une Théorie dans le chapitre "démonstration", c'est bien dans le suivant qu'elle doit etre.
Toute la réalité s'echappe, si on met le doigt dessus. C'est pourquoi il faut seulement Y PENSER, ou plus proprement : TOUCHER AVEC LES YEUX.

La tétravalence étant a considérer comme étant Hors de notre propre cadre, et reflétée à l'intérieur en une infinité d'Entités, il ne faut pas s'étonner que pour l'expliquer il faille faire détours et allers-retour.

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PART FIVE : EXTENSIONS
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reperes axiaux
Nous avons accepté qu'une opération tétravalente permet de déduire un cadre de référence.
ceci est très pratique, mais cela n'apporte aucune réponse à la question pratique : ou placer un REPERE ?

Tout d'abord, reconsidérons la notion de mesure.
Désormais pourvu d'un cadre de référence à toute chose, on peut la symboliser par un cercle.
Ayant obtenu ceci, il nous faut un repère.
A ce stade, il faut se dire que nous possedons une "valeur" mais qu'il est impossible de la révéler dans le cadre si on a pas un repère. Ce repère, nous ne pouvons le trouver à l'intéérieur de la proposition.
Par exemple je veux mesurer une Regle (c intelligent). Il me faut un outil extérieur à la règle si je veux la mesurer en entier, elle, ses marques, et les extremités non marquées.

La méthode consiste a considérer simultanément 2 dimensions, grace à un LIANT COMMUN
Ceci, nous la faisions couramment, mais de manière anarchique et sans aucune conscience.
Ce faisant, il existera Nécessairement un lien entre elles.
Peut etre, ce lien se situera dans une lointaine sous-partie. Auquel cas le repere fixé sera assez "bas" et les dimensions seront nommée comme ELOIGNEES.
Si ces deux dimensions sont très proches, ayant un grand tronc commun, on pourra fixer le repère a un niveau plus élevé, et ces dimensions seront PROCHES.

Il sera plus evident de comprendre avec des angles.

Et cet exemple didactique :
Le compteur d'une voiture.
Un objet merveilleux, qui a lui seul défini toute la voiture !
Absolument artistique, le compteur de voiture cadre toujours avec la capacité réelle de la voiture. C'est un instrment FIABLE (pour peu que la mecanique le soit, et nous savons qu'elle l'est).
Par convension, les constructeurs font en sorte que l'aiguille ne dépasse pas les 90°, quand à mi-régime, le couple est le plus puisant et que le rendement est meilleur. Tout est un savant dosage vous savez! Ainsi, l'oeil mettra d'autant moins de temps à localiser l'aiguille, car par défaut il cherche en premier au milieu, afin de localiser rapidement ensuite di l'aiguille est sur la droite ou la gauche.

On comprend mieux l'intéret de vouloir cadrer une mesure au sein de son unité, c'est à dire de sa dimension propre.
Quel intéret de mettre un compteur de ferrari sur une "boudin" ? La disconnance serait telle qu'on la nommerait "faute de gout", qu'elle soit dans un sens ou dans l'autre.
Tout ce qu'un beau compteur et une vieille voiture auraient en commun, sera la mécanique de plastique et d'acier qui constitue le mécanisme, en tous points identique, mais toute valeur émotionnelle sera rendue invalide par cette incompatibilité.

Imaginons maintenant que la voiture roule (propulsée au GPL), que l'aiguille se trouve quelque part, mais qu'il n'y a aucune indication de vitesse, aucun chiffre.
Quelle solution permettrait d'étabir la vitesse ? Nous connaissons la vitesse maximale que le constructeur met dans le manuel de la voiture, mais cette valeur ne nous sert à rien puisqu'on ne voit aucune graduation.
Sur la route, Nous VOYONS que la vitesse maximum se situe au-dela de l'actuelle position de l'aiguille, et que la vitesse 0 située en-deça. A ce stade nous avons la notion que la vitesse actuelle est comprise entre 0 et la vitesse maximum, qu'elle est un pourcentage, un ratio qui peut etre désigné par un RADIAN encore inconnu.

Mettons deux compteurs différents ensembles (deux Dimensions). Le deuxième provient d'une autre marque de voiture, qui va exactement 2 fois moins vite au comteur. D'un point de vue DIMENSIONNEL, nous trouvons dans 2 Dimensions 1 LIANT commun, dans le cas présent il s'agit du principe de SYNCHRONISATION.

La technique (Analyse endogène) pour connaitre cette vitesse consistera prendre une deuxieme mesure a une autre vitesse, et ensuite à faire un calcul différentiel

Un repère pour une mesure ne peut etre définit qu'à l'intersection de deux dimension.
Longueur et largeur sont deux dimensions distinctes.
De meme que temps et hauteur, ou que sagesse et curiosité.

=======ce qui définité l'unité=======
Ce qui définit l'Unité est la tétravalence.
L'association de deux dimensions, définies par la tétravalence, aussi petites soient-elles, détermine l'UNITE.
Cette association est tétravalente, il s'git d'une "addition tétravalente".
Ce qui discerne l'unité est donc une synthèse mentale.
Une dimension définie seule ne procure aucun repère, car elle n'est aucunement comparable a une autre.
et ce malgré que nous le faisions de manière utilitaire en tétravalence :

Quatre associations de 3 facteurs conforment une dimension à 4 facteurs différents.

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dimension temps

Pour bien envisager la dimension temps, il faut retracer une évolution depuis le Big Bang.
Au moment de l'explosion t+0, toutes les associations sont possibles mais aucune n'est effective.
Si bien qu'il n'existe aucune dimension définissant une quelconque particularité formée par un groupe.

Ici on découvre tout l'intéret qu'il y a à considérer la réalité d'un point de vue psychologique.

A t+1 : naissance de la dimension longueur
t+2 : naissance de la dimension surface, association symbiotique de deux dimensions longueur, distinctes mais superposables
t+3 : naissance de la dimension volume, symbiose de deux dimensions surface distinctes mais superposables.
t+4 : naissance de la dimension temps, seule issue pour continuer l'Organisation commencée.
En effet, jusqu'ici, toutes les associations ont eu lieues consécutivement, mais sans aucune notion de Temps.
Le temps n'existait pas, mais nous pouvons MENTALEMENT définir une consécutivité à l'organisation de la matière.

Le temps est une dimension que nous ne pouvons voir, mais dont nous avons seulement la preuve.
C'est dans cette dimension que nous vivons, c'est pourquoi elle nous fait dos.
Pour nous elle est surdimensionnelle, tandis que longueur, surface et volume sont pour nous dimensionnels.
Nous pouvons dans une premiere aproximation définir la dimension dans laquelle nous vivons (temps), comme étant "positionnée" entre la dimension "volume" et la dimension "idée" (qui est très lointaine).

La dimension "temps" donne la chance a toutes les combinaisons d'avoir lieu, là où en réalité ce ne serait pas possible.
Mais nous pouvons aussi croire que la notion "temps" est créée par le cumul du volume, dans la mesure où elle lui est CONSECUTIVE. Le Temps serait donc la Dimension de la matière.

Einstein ne sera pas en désaccord avec cela, car il sait comment la gravitation et le temps sont liés.
Mais si il pouvait associer masse et temps, dans quelle mesure, en science, oser associer temps et idée?
Si en pressant la masse on obtient du temps, est-ce qu'en etirant une idée on ne fait en réalité que "perdre" du temps ?
Peut-on imaginer qu'en "compressant" une idée, on obtient de la simple MASSE ??
Et si, seule l'Idée était créatrice d'energie ?

Qu'en est-il des dimensions ESSENCE et IDEES ? Nous considérons que :
ESSENCE préexiste, et contient en son sein une infinité d'informations qui sont disponibles, sous forme de LOIS.
IDEE, n'existe théoriquement pas encore, mais existe dans une dimension hautement supérieure, dans laquelle la dimension "temps" n'est qu'une PARTIE.
Pour l'une et l'autre (LOIS et IDEES), il est possible en quelque sorte d'observer le monde du temps, du bigbang jusqu'à la fin a partir d'un seul point de vue.
Nous ordonnons naturellement Lois, Temps, et Idées.

Il est ainsi justifiable que les idées (que nous appelons communément ainsi) peuvent préexister, autant dans le passé que dans le futur.

Cette notion est d'une importance capitale. En effet, le futur du cosmos, a défaut d'etre déjà joué, possède des "parties" qui, elles, se sont figées, et DONT LA CERTITUDE influence sur le Déroulement du Temps de sorte que les choses se passent comme elles le doivent.
C'est ce qui définit "le cadre du possible".

A notre échelle, nous n'apercevons que du Hasard, et un temps qui semble impalpable. A une autre échelle, ceux-ci seraient palpables et réels comme des objets pour nous.

A notre échelle, il existe une matière statistiquement incontrolable (microphysique, hasard), et une autre statistiquement vérifiable (macrophysique). Mais toutes les autres échelles ne considéreront pas ces réalités comme telles.

C'est ainsi que le "Lieu" où l'on place sa conscience détermine grandement les solutions trouvées.

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effet frontiere

D'une manière endogène ou exogene toute dimension se recoupe en une qui leur est commune.
C'est à dire qu'à un niveau meme très éloigné, subsiste nécéssairement une dimension commune a 2 autres dimensions, quelle qu'elles soient.

Un effet frontière nous provient d'une voie INTRADIMENSIONNELLE ou SURDIMENSIONNELLE. (au-dessus ou en-dessous de notre niveau de compléxité unitaire) Sa source peut etre une dimension parallele, mais pas le "conduit".

Il a comme source une Dimension qui peut etre située N'IMPORTE OU SUR NOTRE ECHELLE, EN HAUT DU MUR, OU SUR L'ECHELLE QUI REDESCEND DE L'AUTRE COTE DU MUR, et avec laquelle, nous partageons, à UN moment, une SYMBIOSE INATTENDUE.

Il peut s'agir également d'une coïncidence située dans un futur figé, dont l'éclat est en rapport avec l'effet frontière.

MAIS, toute aussi inattendue que soit cette CONNEXION, elle "accroche" en quelque sorte, le démarrage d'un process tétravalent. Pour peu qu'une "corde sensible" soit gratée, celle-ci se met a RESONNER de plus en plus fort avec son alter égo, situé dans l'autre dimension, comme s'il existait une "tension" entre ces deux réalités. La résonnance accélérante toute seule paraitrait absurde, si nous n'avions pas DERRIERE ces deux tous petits éléments, une CHAINE constituée dans un réseau, dont la plus haute sphère de complexité est loin de tout ce que nous pouvons croire.

En effet, nous réalisons que ce modèle décrit un ETRANGE RESEAU INTERIMBRIQUE TOTALEMENT IMPROBABLE, OU TOUT SERAIT LIE A TOUT AU MEME MOMENT TOUT LE TEMPS.

L'effet frontiere donnera naissance je l'espere a un chapitre volumineux.

- Si ta Théorie est exacte, si EFFECTIVEMENT le passé le present et le futur avaient un point de convergence qui peut nous paraitre tangantiel, Ne crois-tu point que, (inspiration) a différentes "Echelles" (là il fait un mouvement en mettant ses deux mains l'une dessus l'autre, a distance, les doigts ecartés), alors autant dans les petites choses du quotidien que dans DES GRANDS FAITS HISTORIQUES, on en verrait le reflet, la trace, et puisque tu le dis, LA PREUVE !

WOAHOUU Merci d'avoir posé une aussi bonne question. Je me demande s'il aurait été bien sain que j'en aie l'idée moi-meme. J'avoue cependant que personne mieux que MOI ne pouvait poser cette question qui te tracasse TANT.
Mais comme tu vas le constater, et je l'espère le considérer comme une preuve, les questions compliquées réclament de longs exposés préalables (...). Ne crois pas que je me moque de toi, je suis simplement obligé logiquement d'ordonner le chemin qui va conduire a ta réponse. En efet, si tu avais juste demandé : "LA PREUVE !" je t'aurais répondu "ECOUTE TON COEUR, REFLECHIS !!!" un peu agacé mais prenant sur moi la distance qui nous sépare afin de conserver entre nous une Harmonie.
Dans le cas présent, tu es éloquent, tes mains ont exprimé ce que tu voulais signifier.. On est daccord ?

- Oui, je crois...

- donc tout cela fait que peu à peu, je suis obligé de rentrer dans une logique qui te permet de bien m'ENTENDRE.
Je ne te demande pas de croire, mais de voir simplement ces diverses choses, a diverses echelles que je vais de désigner, et ENSUITE, tu feras le rapprochement entre cela, et la THEORIE, ou plutot TRAITE (Traité) comme je l'appelle.

- Quelles sont ces choses ?

- Je te parle d'EVOLUTION. D'une "sorte" de spirale qui n'en est pas une, car a chaque boucle elle est le "EE" de la précédente, c'est à dire qu'elle l'englobe, elle est Tout ce qui est defini jusqu'alors.
L'effet frontière sera donc désigné un peu comme une multidude de points communs entre ces "dimensions", formant une chaine ayant un début et une fin. Est-ce bien cela que tu avais compris ?

- Je ne l'aurais pas exprimé comme ça, je crois...

- PERSONNELLEMENT, je retrouve comme les pièce d'un puzzle, dans ma mémoire, tous ces FAITS que, curieusement, dès le premier instant tu as SU. Il s'est passé que tu l'as mémorisé avec force, sans savoir pourquoi. Il s'est passé qu'à émergé une connexion entre Toi, et la Partie de ton déstin qui était figée, dans laquelle ce souvenir avait tenu un role important.

- Il me semble...

- Je vais cela dit devoir maintenant franchir une étape pour accélerer ma réponse. Car si je continue ainsi, je dois 1 te prevenir qu'un long discours n'est pas une mauvaise reponse, etc... DONC, dans ces faits, je CROIS VOIR l'EMERGENCE d'un effet frontière. Cela dit je peux me tromper.

Tout d'abord la tournure de cet exposé, dont toi, lecteur, a pu constaté la "spirale". En effet, Nous étions en train de THEORISER. LE SCHEMA A ETE, pour toi le lecteur, THEORIE, Chapitre Extension, Sous-titres "Exemples" dans une desquelles apparait une question. (Une question comme j'aurais aimé qu'on me la pose)

Celle-ci à fait jaillir une réponse, et, à moitié conscient de mon act, je jugeais important de signaler la position des mains dans le dialogue. Ceci, toi le lecteur, tu l'as mémorisé PAR AVANCE, comme étant "etrange" de voir arriver cette littérature en plein milieu d'un TRAITE. Mais je veux te faire voir par quelle correspondance apparait l'effet frontière. Maintenant je vais repondre a mon ami qui s'impatiente. Je vais lui parler de 2001 L'odyssée de l'espace, ça ne va pas etre commode.

- MON AMI, Mon frère, :-) je te parle d'un événement, Tout à la FIN, qui va constater une "coïncidence". C'est à dire des faits non identiques mais superposables. De son point de vue, on comprends qu'il ne distingue point les grandes des petites dimensions...
En elles se développent, l'Emergence d'une Syntonie qui va s'amplifier, amplifier "pour nous", mais "pou lui" (le point de vue) il n'y verra qu'une corde de coincidences (que j'imagine ressembler a une branche d'ADN, expliquant par la meme cette fascinante image qu'il nous a suffit de voir une seule fois pour la CONNAITRE).

- et nous on y voit quoi ?

- Que du feu ! héhé. Nous, on voit ce qu'on veut, et ce qu'on peut ! on organise les informations, ... le but de tout ceci n'est pas clair, mais logique pour ce qui nous concerne. Si bien que j'ai réalisé que je pouvais NOMMER le GROS CUBE NOIR qui apparaissait tout au début du film, et tout à la Fin. Egalement tout au début de l'Histoire du monde, qui est comme une douce est belle HARMONIE, et tout à la FIN, où...
Bah ! ici le scenariste qu'est également KUBRICK a été obligé d'infiltrer un Virus dans un HAL (réponse inapropriée), afin que l'histoire comporte ce qu'on appelle et apprend au collège comme étant "L'ELEMENT MODIFICATEUR". C'est sur celui-ci que repose toute la CREATION. Par la suite, elle ENGLOBE tout le FILM comme une seule et unique REALITE, où par ailleurs les coincidences ne sont que dues au talent de l'AUTEUR.
Donc ne t'imagines pas pour autant la fin de notre PROPRE HISTOIRE ! PUISQUE CELLE Ci, justement, s'est réalisée et appartiendra desormais au passé.

- Uh ? Et ce fameux cube anthracite ?

- Justement, LUI, est "le chainon manquant". ça doit etre comme cela qu'à été résumée l'idée pour qu'elle soit proposable a un quelconque producteur. Dans le film, tu peux comprendre que la FIN fut NECESSAIRE et donc LE DEBUT AUSSI. Dans cela, rien de nouveau par rapport à un critique cinémato... enfin qui fait son job.

Tout n'aurait pas eu lieu, sans la première prise de conscience, et Egalement, la première prise de conscience n'aurait pas eu de sens et n'aurait été si transcendante, si tout n'avait "eu" lieu.

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groupes dimensionnels

Le modèle tétravalent propose une infinité exponentielle de dimensions, nous dirons que son nombre est infiniment retentissant, puisqu'il s'élève lui-même à sa propre puissance :

= E exp E exp E exp E et caetera

Ainsi nous nommons ce qui est décrit comme EMERGENCE cette fonction : (EE)

En passant, le NOMBRE d'OR est approché par : 1+(1/(1+(1/(1+(1/1( et caetera. Dans ce cas, il s'agit bien de mettre en quotient une valeur que nous n'avons pas encore calculée. C'est bien le meme 1+(1/ qui est répété, QUI EST UNE SEULE ET MEME ENTITE.
Ansi, dans le Nombre d'Or, il est question d'une Définition qui n'est pas une Unité et qui s'imbrique elle-meme.

Ainsi Donc la notion meme de "Dimension" veut tout et rien dire, si ce n'est qu'elles représentent des Entités ayant le potentiel d'Emerger, ou de participer à une émergence.

Selon la loi du regroupement et de l'organisation, toute complémentarité interdimensionnelle pouvant etre un circuit pour la tétravalence, définira comme un groupe et une dimension a part entière.
Nous pourrons ainsi, parmi l'infnité de dimensions possibles, identifier des dimensions-maitres, c'est à dire des dimensions de dimensions. Ces Dimensions sont fonctionnelles, ce sont elles que nous nommons couramment dans ce document.
Toutes les dimensions essentielles, contenant une valeur émotive définie comme préexistente, viveront donc au sein d'une "surdimension" qui leur sera commune, et à laquelle nous feront implicitement référence (sans le savoir).

On ourra ainsi distinguer les dimensions-maitres, que nous pourrons nommer:
- dimension des lois
- dimension physique
- dimension des idées
- dimension temps

Ce sont les 4 Dimensions de notre Cadre de vie.

De la dimension Physique nous déduisons ses parties:
- matiere
- lois
- evolution
- temps

De la dimension Matiere:
- longueur
- surface
- volume
- temps
(cadre quadrimentionnel de Einstein).

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vue orthogonale

Une vue orthogonale englobe Toutes les Propositions de notre monde.

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L'Etrange jeu du monde

Considérons notre univers à partir de ce que nous savons.
Il s'agit d'un univers gemellaire, c'est à dire qu'à chaque particule de matière est associé non pas une antimatière, qui se trouve également dans le meme cadre que nous, mais une réciprocité symétrique avec une masse inverse comme l'antimatière, un volume symétriqument inverse, et une fleche du temps qui nous paraitrait radialement opposée.

Tout notre univers ainsi que ce qu'on ne peut en observer, existe simultanément dans un miroir.
D'un point de vue tétravalent, nous considerions deux cones constructifs, radialement opposés.

Or pouvons-nous supposer une logique possédant également une flèche inverse ?
C'EST A DIRE UNE CONSECUTIVITE ILLOGIQUE ?
Cela semble improbable, et l'on présuppose que cette spécificité est justement ce qui explique la NON symétrie des univers gemellaires, malgré qu'elle soit apparente.

En effet la raison en est simple, notre point de vue ne nous permet pas de considérer l'univers inverse comme il est réellement.
Le seul fait de le considérer va à l'encontre de ce qu'il est, il nous échappe définitivement à cause son improbable consécutivité logique.

De meme il n'est pas incongru de considérer ce qu'a été la Naissance du Cosmos.
Une "chose" qui croît simultanément vers l'infiniment grand et petit, concrétisant peu à peu le principe des idées.
Une "chose" qui ne pourra réellement exister qu'en ayant bouclé sa boucle, c'est à dire en ayant secreté deux réalités identiques mais distinctes.

...Une Analyse sans autre fondement que la conscience elle-meme..

Et que toute l'histoire du monde, serait de trouver les mots qu'il faut.

7=========================
evolution

Ceci résume en une entité toute la théorie relatée dans ce document.
De la meme manière qu'une surface est l'explanation d'une longueur, on attribue à la surface le caractère de L².
Le problème, est que jusqu'ici nous appellions "Largeur" ce qui était en réalité "Surface".

VUE LATERALE :

Il semble que : (pardon d'essayer)

E.mc²=

C'est à dire que cette ensemble constitué serait symbiotique et en émergence.

8=========================
cosmologie

Nous considérons donc une infinité de couples gemellaires spécifiés par une vitesse de la lumière qui lui est propre. 'c' est est donc une variable. Mais elle n'est pas si importante pour nous, car elle n'entre pas en ligne de compte. Cette variable servira à distiguer les différentes égalités.

Sinon, dans la catégorie "mon avion en papier il va plus vite que celui qu'est dans l'ciel !" est un peu ce qu'on peu voir dans l'utilisation frauduleuse de la valeur c dans l'équation sus-citée.

Temps, Masse, Energie et espace peuvent définir notre univers.
Or la vitesse c est un mixe espace-temps. De plus, nous possédons désormais une unité de Temps (t) et une unité d'espace (s). Orthogonalement, on peut associer

E (s, m, t)==EE

=======univers distincts=======
- Considérons l'univers 000 ayant une masse, un temps, et une energie nulle.
Ici nous dirions que seul Dieu pour exister en son sein.
- Considérons l'univers A00 ayant une masse infinie et un temps+energie nulle
Ce monde est figé et immobile, et ne se situe nulle part (pour nous)
- Univers 0A0 : un univers vide de temps inifini
- Univers 00A : univers energetique, neguentropique car "figé" et sans temps. Figé pour nous mais pas pour lui, qui a la LIBERTE d'avoir une activité intense.

Nous pouvons lier par 000 : A00, 0A0, et 00A. La solution de cette association est ... inutile.

Considérons les combinaisons qui se situent à un deuxieme niveau, car elles symbiotisent deux de nos 3 réalités :
- AA0 : masse et temps infini, energie nulle. C'est un autre univers froid et inerte.
- A0A : masse et energie infinie, temps nul (ce qui ne signifie pas une inactivité) ; monde entropique, (Monde 0)
- 0AA : masse nulle, temps et energie infinie. C'est un monde néguentropique. Une activité intense est en lui, meme si toute sa masse est réduite à la plus petite définition. Le temps évoqué pour cet univers n'est pas superposable au notre. La notion de "éternel" est plus appropriée. Bien que généra au moment du Big Bang, chronologiquement antérieur à nous, il est nous est consécutif en réalité.

Un aparté sur ce sujet très intéressant : Il semble que, avant le jour où une coincidence a provoqué une chaine de resonnance dans tout le cosmos, celui-ci, déja entièrement formé du début à la fin, était Vide de sens.

Que nait de l'association tétravalente de ces trois valeurs ?
Lions avec 000 : AA0, A0A, et 0AA = AAA, un ensemble constitué de masse, d'energie et de temps, le monde que nous connaissons.

=======premiere définition de la tetravalence=======

000 (AA0, A0A, 0AA) == AAA

Zéro est non nul.
Il existe différentes reciproques.
La négation est illogique.