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il m'est difficile de m'exprimer par ecrit Cependant j'ai désormais conçu comment cette conception
psychologique nouvelle que je crois avoir adopté, peut etre formulée.
En prenant un point de vue neurologique instinctivement supposé,
c'est à dire qu'il est bien probable que cette description schématique
soit symbolique, d'une réalité soit plus complexe, soit
aussi simple mais indicible. Il en résulte que j'observe combien l'émotion rééquilibre la construction "logique" d'une manière vraiment équilibrée et naturelle, et qu'on peut vraiment qualifier de "Logique". Avec ce nouveau mot on peut aller jusqu'à se dire qu'une société idéale, serait une société Logique. A partir de là j'ai noté comme des symboles des unités
psychiques qui me servent à construire les mots. ensuite, (successivement), j'ai fait le chemin inverse et pu en toute sérénité, ayant attribué à chaque mot une structure la reliant aux autres, et ayant visionné cette construction psychologique, utiliser ces concepts eux-memes pour de nouvelles réalisations. De là j'ai observé la nature réelle de ma théorie,
c'est à dire que ce qui fonctionne dans un sens, fonctionne dans
l'autre, et que les chemins parcourus par ces "fil de la pensée"
partent et mènent au même endroit. Cela dit je me retrouve dans la vue d'un arbre ainsi que dans les flagrantes
erreurs comportementales de la Société. Voila pourquoi m'exprimer directement provoque une sorte de larcen,
et d'ennui infini aussi. Ainsi donc finalement je crois me placer sur une posture (non pas supérieure sinon ça va froisser) mais iconographique, c'est à dire que j'entreprends des concepts comme de objets et je suis obligé d'expliqer les choses comme à un bébé. C'est un exercice fastidieux car difficile et risqué (la reproduction du message n'est pas fiable), et à la fois recquiert peu d'effort pour l'intellect. Lles allégories apparaissent à l'esprit en une fraction de seconde, après il faut une heure pour la dire. Ensuite j'entend le monde parler a propos d'idées aussi courtes
qui ont été eues une fois et qui ont rebondies d'émétteurs
en récepteurs comme un caillou plat qui rebondi sur la surface
de l'eau. Bien sur je ne doute pas qu'il doit en etre de meme dans la sychologie
de chacun, mais l'auriez-vous exprimé d'une telle sorte ? Oublié-je
des choses ? Il est peut etre important de spécifier que l'architecture de
ces ensembles psycholoqiques n'est hiérarchique que sous un certain
point de vue. Tout ceci dans l'idéal, quand on y pense, devra etre noté
sur du papier afin d'etre retenu. J'en arrive à la technique de l'expression de la réalité,
qui pour se faire, comme il se doit par cette meme réalité,
se retrouve à l'intérieur de cette meme réalité
! Je dois donc décrire la technique de description, "techniiser" la-meme description. (phrase difficile je l'accorde) En fait je dois "dire" la "réalité". Très vite les idées tournent, pour finalement décrire
un nouvel "axe", un "Sens", et donc un repère
fiable pour toutes ses composantes. Je décris ces deux directions comme endogènes et exogènes, dans le premier cas il s'agit d'analyser les composantes, dans l'autre il s'agit de se rendre compte du cadre de réalité.
Au cours de ces voyages, j'ai bien entendu prit note des divers certitudes qui figent peu à peu ma connaissance de la Réalité. Les notions déjà données (auto-fractalisantes,
etc...) sont de brefs post-it concernant de vastes possibilités.
Je peux cependant avancer une structure possedant
de par ce qu'elle est l'information de sa propre nature. Car à l'intérieur d'elle meme, cette réalité
nécessite une information, qui est : "quel est l'extérieur
?" L'on peut supposer que la recherche de cette information a pour but
l'équilibre. D'un point de vue mécanique, si nous utilisons des atomes précis
et les assemblons, nous ne pouvons qu'observer s'ils fonctionnent. Ensuite,
par classification appropriée, on peut déduire le fonctionneent
profond de ces combinaisons (les raisons réelles).
Les scientifiques le savent, c'est là que tout se joue, ensuite,
le fleuve coule normalement. Au niveau infime où cela se joue, poser un petit bateau sur l'eau, en procédant à une mesure scientifique, ou "à l'inverse" en portant tout son espoir dans la perfection des plis du papiers et dans l'émotion ressentie, ne donnera pas du tout le meme résultat !! Le scientiste, par son attention délibérée, distord
la réalité d'une façon peu mesurable, disproportionnant
sans aucune conscience la réalité qu'il observe. Dans l'esprit de l'adulte la pensée s'est distinguée
elle-meme en parcelles, que l'homme découvre et dont un certain
assemblage provoque la perfection. Bien souvent dans notre société il faut attribuer à la déficience du langage les perturbations psychologiques, et donc une impossibilite pour "le sujet" de cerner avec confiance ses propres concepts psychologiques.
J'ai aussi appris que dans sa forme primitive, l'expression pourrait etre exprimée par un noeud borroméen à cinq branches. ET ça marche !!! meme avec 4, et meme tous les autres noeuds signalent l'interrelationnement des proprietés. Aussi, que la Logique utilisée aurait les memes propriétés
que la nature elle-meme, (logique tétravalente) et permettrait
de démontrer Dans la descripion de ce que "peut etre pour le moins" la Réalité arrivent des sphères de plus en plus vastes. Il existe la notion selon laquelle la Réalité construit sa propre échelle de mesure, ce qui implique que toutes le mesures valables pour cette réalité ne sont mesurables que par cette meme réalité (Relativité). A ce stade il est important de dire que nous sommes loin (très très loin) des systèmes Euclidiens, qui confondent ingénumment la masse, l'espace et les dimensions. Pusqu'il s'agit précisément de comprendre comment sont interrelationnées ces réalités disctinctes. Elles sont l'objet d'une structure en réseau, évolutive, et son reliées entre elles par tant de liens que seule la Psychologie peut les percevoir comme "unis". Donc, il est question de définir avec précision les termes espace, dimension, unité, etc... <-- etc.. aussi
L'objet ainsi nommé "réalité" existe
probablement sans aucune relation avec la notion de Temps. Il se peut
qu'elle soit en conformation, et que cette conformation soit justement
ce que nous observons et nommons comme étant "la réalité".
En terme général, tous les facteurs qui font la réalité,
se retrouvent déployés et fidèles à eux-memes
dans les constructons plus sophistiquées et évoluées.
Il existe réellement un calquage logique lorsqu'une réalité se Dimensionne. atome devient molécule devient cellule devient vivant devient
conscient ... L'age de la vie, de la naissance à la mort d'un homme, et tout
ce qu'il a vécu ressenti, sont très symboliques des diverses
évolutions de la fleur, d'une civilisation, ou d'un simple processus
mécanique. Par contre le Pourquoi des choses est un
bien plus ample débat. Pour Quoi ? Pourquoi le caméléon change-t-il la couleur de ses écailles
? Pour communiquer son accueil à un autre caméléon,
ou pour disparaitre de la vue (défciente alors ça ira)
d'un éventuel prédateur. Voilà qui répond à la question "en faisant"
quoi. A la question Pour Quoi il faut entendre "pour faire quoi
?" et etre très précis sur la localisation temporelle
de la question. En effet, qu'est-ce qui fait dire que le caméléon communique ou se dissimule ? C'est le changement de couleur, c'est donc la raison pour laquelle la réalité observée est réelle. Voila comment une "pourquoi" peut cacher un "comment".
Une fois sur deux, dans le language commun, les questions sont posées de travers et les réponses se font selon l'accord collectif, indépendamment de toute logique, ce qui est logique car l'etre libre qu'est l'Homme, construit sa propre essence, découvre sa propre nature graduellement. On est souvent ébahis par l'accord que trouvent les différents
acteurs d'une foret pour former une symbiose. Nous avons aussi découvert la vie dans des conditions incroyables, comme dans cette caverne noire et froide isolée du monde, une bulle dans la roche, dans laquelle depuis des millénaires des bestioles variées et dynamiques se sont (très très lentement) développées. Tant qu'il y a du Temps, il y a de la Vie,
Une fois la conscience collective reconnue pour ce qu'elle est, distinguée de ce qui l'entoure et positionnée au sein d'une structure (meme relativement envisagée), se déploiera avec force la vision passée de nos erreurs, qui seront autant de marqueurs mémento de "ce qu'il ne faut pas faire". Les tables de l'histoire inscrivent pour mémoire les éléments
qu'ils faut considérer positivement, pour toute construction
future. Facile de passer de l'image à une réalité, si je considère que le langage, le sens des mots change au fur et à mesure que le discours avance, car celui-ci est description de la nature des choses et donc aussi de la nature des mots. La nature des mots n'est pas énigmatique, il a d'agit d'accorder
les consciences sur l'expressionnabilité de certaines obervations
courantes. L'expression elle-meme formate "différemment" ce qui
formate le langage.
Il en va de meme lorsqu'on découvre que le gène constitue en lui-meme un code si on le considère à la bonne échelle. On l'appelle ensuite improprement "code génétique", mais en réalité c'est le gène qui est lui meme un code, et inversement un code ne peut etre génétique. Un gène, peut etre considéré comme codé, bien qu'en réalité on constatera qu'il est "codant". Quoi qu'il arrive, ce n'est pas grave, l'information transcendante
est toute vive devant vos yeux : la nature informative de la Nature
! Dans le language, la notion de codification du langage est née. Le langage étant un consensus humain, il s'avère que la nature de toute chose peut etre résumée à un "langage" ou plutot un discours, et pour le moins, un contenu informatif ! Le contenu informatif initial au Monde, lui, était minuscule et simplicime. Et infiniment astucieux !!!!
Ainsi une réalité n'est pas effective, tant qu'elle n'a pas d'influence sur ce qui l'entour. Ainsi on détecte les grandes masses dans la galaxie, du fait des arcs lumineux qui les entourent (gravité luminique), et si on pouvait voir tous les arcs, on verrait tous les points donc on ne verrait plus les arcs !
Entre chacunes de ces strates toutes la étapes possibles de
l'évolution apparaissent. Une réalité, étirée pour etre anaylée,
écrit une Evolution. Il apparait que lorsqu'une réalité apparait dans le flux
du temps, elle germinait préalablement indépendamment
de l'influence du temps. Entre l'apparition des propriétés et l'émergence
de l'ensemble, se dévoile une pléiade d'événements. A propos du fonctionnement "rotatif" de la nature. Il s'agit de considérer un "curseur" qui parcours
la logique et recueille les informations. Il s'agit de voir un angle s'ouvrir à 180°, puis se fermer
à 90°, puis s'ouvrir à 45°, etc... Ensuite dans un schéma plus complexe on peut se dire que cet "aller-retour", prise d'information-décision, effectuerait toujours le meme mouvement de balancier, car le "curseur" qui décrit ce mouvement EST l'entité qui nous sert de repère, et non le cercle et l'angle formé entre le cercle et le curseur. Aisni s'initialise la notion de Dimensionnement, voulant pour etre simple, qu'une trame précise peut etre répliquée à l'infini de façon fractale, en réitérant toujours la meme action. Peu importe à quelle echelle se trouve la dimension etudiée, ce qui compte c'est ce qu'il y avait avant, et ce qu'il y aura après.
Nous avons appris de l'étude de la théorie des cordes combien il est important de bien spécifier le vocabulaire qui décrivent les principes, mais en réalité tous les principes énoncés étaient purement psychologiques. Cette association m'a fait observer que la description schématique
se trouvait, tout simplement, etre une réalité
identique mais reportée à une dimension différente.
Par exemple si un homme veut symboliser le soleil sans connaissance
d'aucun langage commun avec son interlocuteur, il le fera à Sa
manière, mais le message passera. Ce qui se passe lorsqu'on s'approche de la Réalité, on décrirait un graphique qui tend de plus en plus vers un autre graphique, sachant qu'à chaque étape franchie dans la réalisatition du graphique, nous sommes passés de "un" symbolique à "un" réel. Par exemple je peux passer d'un schéma avec une armée
de gens, à un listing recensant les positions. Or il n'en est pas ainsi. En psychologie, il arrive parfois d'avoir des idées dont on
aimerait se rappeler et dont on sait pourtant qu'elles s'enfouissent
sous la poussière du temps, perdant d'autant de briant. Ensuite, dans la psychologie, l'usage simple de ce mot sous-entendra tout la large conception philosophique murmurée pendant la nuit, et qui semblait enfouie a jamais. En réalité, aucune information n'est
perdue au cours du déroulement de la Nature.
Avec notre pantin schématique qui décrit la seule Logique,
nous allons aborder sa façon d'aborder la réalité. La formation matérielle de cette réalité existe
dans le temps, et se renouvelle elle meme indéfiniment en tendant
vers la perfection. Ce qui se passe, c'est que notre petit pantin logique se remodèle lui-meme, d'une manière infime, afin de produire par évolution "l'etre", ou la réalité la plus adaptée possible à "l'extérieur". La bulle du temps serait donc comme un ventre maternel,
où les choses se constituent. C'est un peu ce qu'on peut appeler l'ascention, c'est à dire
une prise de conscience qui concerne l'ensemble "dans son ensemble". Le "curseur" avance dans la bulle du Temps en formant une phylogénie, qui n'est rien d'autre qu'une déscription schématique du déploiement de la Nature. Elle concerne autant les mathématiques de réseau que l'évolution d'une espece humaine, que l'apparition d'une idée, que l'aboutissement d'un concept. Contrairement au curseur atemporel qui suit "une sorte" de cycle, où l'on peut voir deux sens opposés simultanément, dans la bulle du temps toute l'activité n'est rien d'autre qu'un concept replié sur lui-meme, (dépliée dans le temps - cad si l'observation est a l'interieur du temps). Pour se le figurer, dans notre monde, on ne part par d'un point pour
se séparer pour aller vers l'autre, mais on part du milieu, pour
aller à la fin qui ramène au milieu.
Pour en revenir au fonctionnement du monde, tout ceci amène
a expliquer comment il faut distinguer ce qui est temporel de ce qui
ne l'est pas. Une chose est sure : les choses ont lieu les unes après les
autres, de manière séquentielle. Au cours d'une vie apparait tout ce qui est apparu aux yeux de tous les hommes, et la valeur ajoutée s'appelle la Liberté. Elle enrichit le savoir. Si on retrace une biographie, la chronologie ne serait que le premier
pas, la prise d'information concernant les faits. Après l'assemblage séquentiel, puis éventuellement
hiérachique, il s'agit d'assembler les éléments
selon des facteurs communs. Si la facteur commun est suffisamment astucieux, et on sait comme très vite le langage a toute son importance pour décrire le sens requis, il en faut de moins en moins pour associer tous les éléments, et, enfin, lorsque tous les éléments peuvent etre reliés par un facteur commun, alors ce facteur commun devient la seule information
retenue de l'opération. Cela peut paraitre aburde, si on ignore que dans les langues primitives,
il est très courant et instinctif de désigner non pas
les choses elles memes, mais des facteurs communs. La différence est que, émergée, la réalité est devenue une idée. Elle ne se situe plus dans la bulle du temps, autant que sa nature n'y figurait pas non plus. Nous avons bien distingué, en quelque sorte, "avant" la bulle du temps, à savoir "la nature", la réalité, qui est pour ce qui nous concerne, une évolution, et en troisième l'idée, qui est la finalité de toutes les réalisations. En effet, quelle idée de vouloir situer le monde des idées
en dehors du temps ? Et quelle conséquences ? De plus, cette réalité extérieure et consécutivement placée après la bulle du temps, est elle aussi en conformation, et peu à peu solidifie des Vérités. l'idéal change au cours du temps, car cette formation "prévoit"
ce que sera l'idée. Dans la Logique, il est nécessaire que la fin ait déjà informé le début afin qu'il SOIT. Il est question de considérer l'homme dans ce cosmos. Mais le plus important à retenir, c'est que ce fonctionnement, cette vision permet d'envisager une distinction pour signaler que "la prise d'information" qui signifie le monde, représentée par un curseur qui avance, suit un parcours nécessairement consécutif, mais qui n'a rien de chronologique. repetition : c'est peut etre pour cela que le temps existe, dans l'idée de recueillir librement les informations nécessaires. Au cours d'une vie, ou d'une simple activité sportive, on en perçoit le meilleur moment qu'en ayant vécu l'ensemble. Les théoriciens voudraient croire qu'ils pourront prouver la réalité du monde. Mais comment une balance peut elle se peser elle-meme ? Grande question philosophique et déjà les idées coincent. Voici la solution : En la retournant !!
J'avais déjà entendu parler de cette spiritualité,
selon laquelle certains pensent "à l'inverse" de la
plupart. On peut donner plus de profondeur à ce sens en spécifiant
qu'au lieu d'identifier la cause, l'individu déduit la
Raison. J'avais cru m'apercevoir que les idées sur lesquelles je me
concentrait complotaient dans mon dos. L'objet de la concentration doit etre le dernier
des soucis. Si on veut regarder le monde, il faut se placer dans une posture spirituelle très élevée, et tout à la fois ne pas regarder le monde, mais y penser seulement. La focalisation par la pensée sur une réalité
est la seule action qui ne la déforme pas. Si on veut toucher le monde (télékinésie) il faut aussi se vider de l'objet, faire un processus inverse, c'est a dire alléger le monde. Mais si vous faites l'expérience vous vous rendrez compte que rien ne peut arriver car votre esprit n'est pas pret pour recevoir une telle information. L'information doit pouvoir etre accueillie au sein d'une structure prévue a cet effet. L'information doit avoir une raison d'etre, et coincider avec le recepteur du message. Si un tel événement a lieu, ce sera pour dire quelque chose, et ce le sera, parce que le moment sera venu. Si j'y arrive tout seul dans le noir, m'etant préparé a recevoir cette réalité qui est somme toute simple a concevoir, quelle applications, comment tournerait mon discours ? Je pense a ces pauvres medium qui sont des ultrasensibles a qui on demande comme a des rats de laboratoire d'avoir une idée, sans aucune considération humaine polie ou respectueuse. Comment déclencher un événement dans ces conditions ? Pourtant ils sont porteur de ce message, selon lequel il existe des bornes a la réalité. Et tous les scientistes, qui isolent de la nature par leur psychologie formatée et à peine interrogative, et s'interrogent après en se demandant pourquoi c'est pas normal ? |