PROJECTION PSYCHOLOGIQUE
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il m'est difficile de m'exprimer par ecrit
Pourtant je sais comme la moindre impulsion peut etre entretenue et grandir intensément.
Une idée, un thème, pour lequel je crée tout un dossier et un fichier numéroté 0, ou bien pour lequel je dois ouvrir un nouveau site web.
Comment raccoder toutes ces idées aux supports que j'ai pourtant développé à cet effet.
Meme si les mises à jour sont presques qutidiennes, je me sens en attente de révéler l'ensemble de mes suppositions par un biais pratique.
Seul ce mot, révéler, implique l'xistence d'un public et discrédite tous les faits.
Car en réalité, la réalité me parvient par des voies psychologiques qui me sont propres, si bien que le chemin qui mène mes idées vers la sortie est tout aussi tortueux que ne l'est ma psychologie.

Cependant j'ai désormais conçu comment cette conception psychologique nouvelle que je crois avoir adopté, peut etre formulée. En prenant un point de vue neurologique instinctivement supposé, c'est à dire qu'il est bien probable que cette description schématique soit symbolique, d'une réalité soit plus complexe, soit aussi simple mais indicible.
C'est à dre que fonctionnant par précognition, à 'echelle de quelques millisecondes peut-etre, j'anticipe les construction psychologiques par d'autres afin que l'ensemble de l'idée grandisse en équilibre.
Instantanément, ma parviennent (on peut dire des centaines) d'images subliminales sensasionnelles (à forte sensation) provenant de rêves ou de souvenirs réels.
Il faut se figurer sur un balancier en forme de rail où se ballade une boule, le moment où il faut commencer (à cause de l'inertie mesurée psychiquement) une poussée, fin d'inverser la "tendance" et pour ralentir "l'entropie".
En effet si on applique une contre-poussée au moment où il est mesuré qu'elle est nécessaire (par un système mécanique qui détecte la position du levier), il est déjà trop tard, et la prochain rectification ne fera qu'aggraver ce retard. C'est ce que j'appelle l'entropie, une tendance naturelle à la destruction du Système (le principe du balancier).
La réalité est qu'il faudrait tenir compte de l'infinité de facteurs jouants, pour que le calcul aboutisse "Presque" (la boule irait de droite a gauche sur une distance rapeticeant vers l'infini.

Il en résulte que j'observe combien l'émotion rééquilibre la construction "logique" d'une manière vraiment équilibrée et naturelle, et qu'on peut vraiment qualifier de "Logique".

Avec ce nouveau mot on peut aller jusqu'à se dire qu'une société idéale, serait une société Logique.

A partir de là j'ai noté comme des symboles des unités psychiques qui me servent à construire les mots.
Il m'a fallu tenir compte de tout le fonctionnement du cerveau et apprendre comment l'inconscient et tous les autres facteurs jouaient ensemble.
J'ai donc en quelque sorte rationalisé mon vocabulaire.
J'ai appris vite, grace à la technique des idées disposées en tétraèdre, à rendre de plus en plus vite compte de la teneur réelle et personnelle que j'attribue à chaque mot.

ensuite, (successivement), j'ai fait le chemin inverse et pu en toute sérénité, ayant attribué à chaque mot une structure la reliant aux autres, et ayant visionné cette construction psychologique, utiliser ces concepts eux-memes pour de nouvelles réalisations.

De là j'ai observé la nature réelle de ma théorie, c'est à dire que ce qui fonctionne dans un sens, fonctionne dans l'autre, et que les chemins parcourus par ces "fil de la pensée" partent et mènent au même endroit.
Ainsi tout est Logique, mais la déprime s'installe vite si je constate que c'est normal que tout soit "logique", puisque je n'explore jamais que ma propre psychologie.

Cela dit je me retrouve dans la vue d'un arbre ainsi que dans les flagrantes erreurs comportementales de la Société.
Je constate comme tout cela est Vrai et je perçois de mieux en mieux comment amener vers le langage la nature réelle des choses (ou transcendance du monde, c plus joli).

Voila pourquoi m'exprimer directement provoque une sorte de larcen, et d'ennui infini aussi.
On m'a déjà jugé "autiste" autant que "génial" et j'ai bien identifié l'acception qui entourait chaque mot.

Ainsi donc finalement je crois me placer sur une posture (non pas supérieure sinon ça va froisser) mais iconographique, c'est à dire que j'entreprends des concepts comme de objets et je suis obligé d'expliqer les choses comme à un bébé.

C'est un exercice fastidieux car difficile et risqué (la reproduction du message n'est pas fiable), et à la fois recquiert peu d'effort pour l'intellect. Lles allégories apparaissent à l'esprit en une fraction de seconde, après il faut une heure pour la dire.

Ensuite j'entend le monde parler a propos d'idées aussi courtes qui ont été eues une fois et qui ont rebondies d'émétteurs en récepteurs comme un caillou plat qui rebondi sur la surface de l'eau.
Alors que dans le meme temps, les idées sont pour moi des mots, des objets, des lettres, ou meme des particules fractionnaires considérées par régionnement.

Bien sur je ne doute pas qu'il doit en etre de meme dans la sychologie de chacun, mais l'auriez-vous exprimé d'une telle sorte ? Oublié-je des choses ?
Oui j'en suis certain, à chaque bifurcation dans le présent discours, je choisi d'aborder un sujet plutot qu'un autre, dont les idées finissent tot où tard par ressortir.

Il est peut etre important de spécifier que l'architecture de ces ensembles psycholoqiques n'est hiérarchique que sous un certain point de vue.
Il existe de nombreuses structures valides, comme on dit pour les métathéories, voici les grandes lignes qui doivent se vérifier : le recoupement, le déroulement, la fractalisation.

Tout ceci dans l'idéal, quand on y pense, devra etre noté sur du papier afin d'etre retenu.
C'est là qu'interviens le premier problème : à comment exprimer la réalité ? Sitot que j'utilise un langage pour l'exprimer, nécessairement les sens des mots se bousculent les uns les autres sous une verticale dont ils n'atteindront jamais que l'épicentre.

J'en arrive à la technique de l'expression de la réalité, qui pour se faire, comme il se doit par cette meme réalité, se retrouve à l'intérieur de cette meme réalité !
Je parle donc d'une technique auto imbriquée, et il faudrait rajouter auto générantes.

Je dois donc décrire la technique de description, "techniiser" la-meme description. (phrase difficile je l'accorde)

En fait je dois "dire" la "réalité".

Très vite les idées tournent, pour finalement décrire un nouvel "axe", un "Sens", et donc un repère fiable pour toutes ses composantes.
C'est le principe meme de la technique mais lorsque je veux en décrire le fonctionnement, le langage se heurte lui-meme, et c'est précisément ce que je veux décrire !
Du moins, lorsque les mots se "heurtent les uns les autres" c'est précisément l'Inverse de ce qui est décrit à la phrase précédente, et donc parfaitement logiquement "la meme chose" ou "la meme réalité".

Je décris ces deux directions comme endogènes et exogènes, dans le premier cas il s'agit d'analyser les composantes, dans l'autre il s'agit de se rendre compte du cadre de réalité.


et donc lorsque je veux "toucher" la réalité elle-meme", c'est à dire comprendre comment elle se déroule, s'agence, fonctionne, je suis dans le cadre d'une analyse "exogene" généralisée qui réclame de mon esprit qu'il s'élève.

Au cours de ces voyages, j'ai bien entendu prit note des divers certitudes qui figent peu à peu ma connaissance de la Réalité.

Les notions déjà données (auto-fractalisantes, etc...) sont de brefs post-it concernant de vastes possibilités.
Me basant sur ma vision, je ne peux en faire une description plus précise que cela et ce n'est pas plus mal car chacun doit faire fonctionner ses propres idées en fonction de sa propre psychologie.
Ceci est une notion de Liberté.

Je peux cependant avancer une structure possedant de par ce qu'elle est l'information de sa propre nature.
Si la réalité est un petit squelette a 4 noeuds, la position fictive des axes modelant cette Réalité seraient de par eux-memes (leur positions respectives) ... est informative.

Car à l'intérieur d'elle meme, cette réalité nécessite une information, qui est : "quel est l'extérieur ?"
En attendant de connaitre cette information, la Réalité (notre personnage a 4 noeuds) ne reste pas inerte.

L'on peut supposer que la recherche de cette information a pour but l'équilibre.
En attendant, la Réalité grignote peu à peu les informations manquantes et se structure et se développe dans ce sens.

D'un point de vue mécanique, si nous utilisons des atomes précis et les assemblons, nous ne pouvons qu'observer s'ils fonctionnent. Ensuite, par classification appropriée, on peut déduire le fonctionneent profond de ces combinaisons (les raisons réelles).
Si ensuite on vient vous dire une nouvelle combinaison, il est possible de dire si cette annonce est logique ou non, et pourquoi.


Nous avons aussi noté scientifiquement, en observant un bateau en papier flotter sur une eau en pente douce, la détermination et le soin qu'a l'écoulement de ne pas laisser le petit bateau sur le coté.
Aussi, on voit dans ce Fleuve (3mm de profondeur environ) tous les aléas et les choix de trajectoire subit par notre merveilleux Navire, et l'on culpabilise si jamais le bateau se coince, de l'avoir mal positionné au début.

Les scientifiques le savent, c'est là que tout se joue, ensuite, le fleuve coule normalement.
Au moment de lancer le bateau, les conseils d'une mamans seront meilleurs que ceux d'une scientiste, car avant tout la force qui décide de la bonté accordée à un choix, est toute spirituelle et donc provoquée par l'homme.

Au niveau infime où cela se joue, poser un petit bateau sur l'eau, en procédant à une mesure scientifique, ou "à l'inverse" en portant tout son espoir dans la perfection des plis du papiers et dans l'émotion ressentie, ne donnera pas du tout le meme résultat !!

Le scientiste, par son attention délibérée, distord la réalité d'une façon peu mesurable, disproportionnant sans aucune conscience la réalité qu'il observe.
L'enfant, réellement Scientifique par son comportement, c'est à dire curieux, attentionné, ouvert à l'apprentissage et à la découverte, permet à toute l'Harmonie de la Nature de Jouer avec lui.
Il observera des phénomènes indiciblement magnifiques, jouant de la coincidence ou de la rythmique, ou donnant des "humeurs" à des "situations", dont la probabilité pour qu'il se renouvelle est infiniment faible, et meme si cela avait lieu, qui d'autre que l'enfant le remarquerait ?

Dans l'esprit de l'adulte la pensée s'est distinguée elle-meme en parcelles, que l'homme découvre et dont un certain assemblage provoque la perfection.
L'enfant combine et interrelationne les choses, il fait cela naturellement.
Il perçoit la realité telle qu'elle est vraiment, mais telle qu'il ne peut l'utiliser en tant que "homme".

Bien souvent dans notre société il faut attribuer à la déficience du langage les perturbations psychologiques, et donc une impossibilite pour "le sujet" de cerner avec confiance ses propres concepts psychologiques.


A trop parler de la réalité telle qu'elle est on ne la voit plus et c'est bien logique en soi.
Pour une ccomparaison honteuse, que voit-on si on zoome à l'infini sur un point noir ? Rien du tout !!
AHAHAHA

J'ai aussi appris que dans sa forme primitive, l'expression pourrait etre exprimée par un noeud borroméen à cinq branches. ET ça marche !!! meme avec 4, et meme tous les autres noeuds signalent l'interrelationnement des proprietés.

Aussi, que la Logique utilisée aurait les memes propriétés que la nature elle-meme, (logique tétravalente) et permettrait de démontrer
a(n)+b(n)=ab(n) avec abn<2

Dans la descripion de ce que "peut etre pour le moins" la Réalité arrivent des sphères de plus en plus vastes.

Il existe la notion selon laquelle la Réalité construit sa propre échelle de mesure, ce qui implique que toutes le mesures valables pour cette réalité ne sont mesurables que par cette meme réalité (Relativité).

A ce stade il est important de dire que nous sommes loin (très très loin) des systèmes Euclidiens, qui confondent ingénumment la masse, l'espace et les dimensions.

Pusqu'il s'agit précisément de comprendre comment sont interrelationnées ces réalités disctinctes.

Elles sont l'objet d'une structure en réseau, évolutive, et son reliées entre elles par tant de liens que seule la Psychologie peut les percevoir comme "unis".

Donc, il est question de définir avec précision les termes espace, dimension, unité, etc... <-- etc.. aussi


ETC...
L'idée de réplication est inclue dans la réalité elle-meme. Une de ses composantes possède la structure de l'ensemble, et donc pour connaitre la structure de cette composante spécifique, il faut soit la connaitre elle-meme, soit connaitre la réalité elle-meme. Cette dernière solution étant le point d'impulsion, la tendance va donc vers l'analyse des parties, puis une construction progressive.

L'objet ainsi nommé "réalité" existe probablement sans aucune relation avec la notion de Temps. Il se peut qu'elle soit en conformation, et que cette conformation soit justement ce que nous observons et nommons comme étant "la réalité".
Il est considérable donc que cette réalité n'est pas figée "pour le moment", c'est à dire dans la bulle du temps. Il se peut aussi que le temps soit temps, du fait de cette incertitude de la réalité.


A l'intérieur de la Logique, existe aussi la notion d'interrelationnement, donc il faudra sans doute déssiner des fleches a double sens et les expliquer.

En terme général, tous les facteurs qui font la réalité, se retrouvent déployés et fidèles à eux-memes dans les constructons plus sophistiquées et évoluées.
Qui nous dit que la nature de l'Amour n'est pas la "meme chose" que ce qui attire deux électrons "qui sont faits pour se rencontrer".

Il existe réellement un calquage logique lorsqu'une réalité se Dimensionne.

atome devient molécule devient cellule devient vivant devient conscient ...
atome devient molécule devient caillou devient planete devient galaxie ...
atome devient molécule devient virus . (point)

L'age de la vie, de la naissance à la mort d'un homme, et tout ce qu'il a vécu ressenti, sont très symboliques des diverses évolutions de la fleur, d'une civilisation, ou d'un simple processus mécanique.
Bref nous sommes au moins sûrs que, si les atomes et les planetes ont des traits communs, c'est parfaitement Logique.

Par contre le Pourquoi des choses est un bien plus ample débat.
Cette question simple part en réalité dans eux directions opposées, et celle à laquelle la conscience s'attache et précisément celle qu'il n'est possible de déterminer, qu'en explorant à fond l'autre pente de la question.

Pour Quoi ?

Pourquoi le caméléon change-t-il la couleur de ses écailles ? Pour communiquer son accueil à un autre caméléon, ou pour disparaitre de la vue (défciente alors ça ira) d'un éventuel prédateur.
Comment le fait-il ? En y pensant, il active un mécanisme. C'est à dire qu'au cours de l'évolution, cette fonction a émergé dans l'astre d'action de la conscience.

Voilà qui répond à la question "en faisant" quoi. A la question Pour Quoi il faut entendre "pour faire quoi ?" et etre très précis sur la localisation temporelle de la question.
Exemple : pourquoi le caméléon change-t-il de couleur ? Pour communiquer ou se dissimuler. Pour quelle raison le caméléon communique ou se dissimule ? Parce qu'il a changé de couleur !!

En effet, qu'est-ce qui fait dire que le caméléon communique ou se dissimule ? C'est le changement de couleur, c'est donc la raison pour laquelle la réalité observée est réelle.

Voila comment une "pourquoi" peut cacher un "comment".
L'intéret de cette démonstration est de préter une attention très aigue sur la "direction" temporelle d'une question, c'est à dire dans quel sens a lieu l'analyse !

Une fois sur deux, dans le language commun, les questions sont posées de travers et les réponses se font selon l'accord collectif, indépendamment de toute logique, ce qui est logique car l'etre libre qu'est l'Homme, construit sa propre essence, découvre sa propre nature graduellement.

On est souvent ébahis par l'accord que trouvent les différents acteurs d'une foret pour former une symbiose.
Nous avons entrepris l'existence de spheres autonomes pour voir si la vie se suffisait à elle-meme (avec apport luminique), et ça a parfaitement bien fonctionné.

Nous avons aussi découvert la vie dans des conditions incroyables, comme dans cette caverne noire et froide isolée du monde, une bulle dans la roche, dans laquelle depuis des millénaires des bestioles variées et dynamiques se sont (très très lentement) développées.

Tant qu'il y a du Temps, il y a de la Vie,
et la question de savoir si elle peut se développer ailleurs (et atteindre le seuil de la conscience), est résolue.
Et puisque le temps tourne, il est bien possible aussi que les seules traces qu'il en restera, seront des etres mécaniques que nous auront forgés en y incluant la connaissance de la transcendance du monde. Les ordinateurs doivent etre nombreux, en plus des planetes vivantes.


Comme notre société est à la seconde porte de son humanité, (la première était les Pyramides, cad l'accès à la technique appliquée au groupe social, ou Politique), vont de plus en plus fréquemment apparaitre à la conscience des coincidences ainsi que des formalisations, des formulations d'une grande pureté.

Une fois la conscience collective reconnue pour ce qu'elle est, distinguée de ce qui l'entoure et positionnée au sein d'une structure (meme relativement envisagée), se déploiera avec force la vision passée de nos erreurs, qui seront autant de marqueurs mémento de "ce qu'il ne faut pas faire".

Les tables de l'histoire inscrivent pour mémoire les éléments qu'ils faut considérer positivement, pour toute construction future.
Elles sont plus précieuses encore que les tables de loi, qui elles peuvent etre modulées en fonction de l'évolution (comme le centre géométrique d'une goutte d'eau en suspension qui vibre)

Facile de passer de l'image à une réalité, si je considère que le langage, le sens des mots change au fur et à mesure que le discours avance, car celui-ci est description de la nature des choses et donc aussi de la nature des mots.

La nature des mots n'est pas énigmatique, il a d'agit d'accorder les consciences sur l'expressionnabilité de certaines obervations courantes.
Il s'agit d'objets réels dimensionnés autant que de sentiments, dont la culture seule a permis qu'on en identifie aujourd'hui un si grand nombre de variantes.
Mais il ne s'agit jamais que de l'expression formatée de l'abstraction psychologique dont est capable le cerveau humain (nature des mots)

L'expression elle-meme formate "différemment" ce qui formate le langage.
Si on reflechissait assez vite et assez fort, on butterait sur tous les mots et rien ne sortirait.
C'est probablement comme cela que se situe la Big Bang, un Commencement Impossible, mais qui a lieu quand meme par choix, sans quoi rien n'a lieu et donc rien n'est vrai ce qui est faux.


On ressent un peu le meme effet quand on voit un film pour la dexième fois, on "rentre mieux dedans", car on a acquis le langage (graphique, cinéique) du réalisateur et surtout l'Histoire.

Il en va de meme lorsqu'on découvre que le gène constitue en lui-meme un code si on le considère à la bonne échelle. On l'appelle ensuite improprement "code génétique", mais en réalité c'est le gène qui est lui meme un code, et inversement un code ne peut etre génétique. Un gène, peut etre considéré comme codé, bien qu'en réalité on constatera qu'il est "codant".

Quoi qu'il arrive, ce n'est pas grave, l'information transcendante est toute vive devant vos yeux : la nature informative de la Nature !
On peut s'exciter mentalement, et dire "Tout n'est que Information !"

Dans le language, la notion de codification du langage est née. Le langage étant un consensus humain, il s'avère que la nature de toute chose peut etre résumée à un "langage" ou plutot un discours, et pour le moins, un contenu informatif !

Le contenu informatif initial au Monde, lui, était minuscule et simplicime. Et infiniment astucieux !!!!


Il existe une relation incroyable dans le développement temporel d'une réalité avant qu'elle n'émerge en une Loi, c'est à dire quelque chose de certain et de figé.

Ainsi une réalité n'est pas effective, tant qu'elle n'a pas d'influence sur ce qui l'entour.

Ainsi on détecte les grandes masses dans la galaxie, du fait des arcs lumineux qui les entourent (gravité luminique), et si on pouvait voir tous les arcs, on verrait tous les points donc on ne verrait plus les arcs !


A ce stade il ne faut plus confondre l'émergence, point situé au début et à la fin d'une réalité (limites) et le développement, l'organisation, les propriétés.

Entre chacunes de ces strates toutes la étapes possibles de l'évolution apparaissent.
Nous avons le schéma d'un point qui se multiplie, s'organise, et redevient un point.

Une réalité, étirée pour etre anaylée, écrit une Evolution.
Considérée dans ce pourquoi elle est vraie (influence) elle n'est qu'une Propriété parmi d'autres, participant à une symbiose.
Toute la question est, dans le discours, de bien situer les choses, donc de construire l'échelle "au-dessus" et "en-dessous".

Il apparait que lorsqu'une réalité apparait dans le flux du temps, elle germinait préalablement indépendamment de l'influence du temps.
Ainsi le Premier Act, par lequel tout commença, ne pu etre déclenché que par un élément "en dehors de la réalité".
Et puisque notre "réalité" est en réalité en conformation, c'est à dire "en train de devenir vraie", on peut considérer que ce qui est absolument vrai est la plus distante de toutes les choses de la vie : Dieu. Qui possèderait la liberté de douter de l'existence du monde.

Entre l'apparition des propriétés et l'émergence de l'ensemble, se dévoile une pléiade d'événements.
Il faut considérer la nature multidimensionnelle de l'homme autant que le fonctionnement "rotatif" de la nature.

A propos du fonctionnement "rotatif" de la nature.
Il s'agirait, lors d'une déscription schématique (apparue en reve) de confronter un demi-cercle avec un autre demi-cercle, d'une demi taille, et de recommencer cet "enfermement" vers le centre jusqu'à l'infini.
ce qu'il y a de rotatif, c'est le fonctionnement de ces états successifs.
Cela est très complexe a initier par voie textuelle (dans ce texte) mais c'est une parfaite démonstration de la construction "etapes par etapes" de la réalité (de ce document).

Il s'agit de considérer un "curseur" qui parcours la logique et recueille les informations.
Exactement la meme idée que celle des demi-cercles de demi-taille qui se juxtaposent, on peut esquisser un modèele identique mais élaboré pour avoir des variables possibles et l'apparition de ce "curseur".

Il s'agit de voir un angle s'ouvrir à 180°, puis se fermer à 90°, puis s'ouvrir à 45°, etc...
Cela signifie à la fois la quantité des possibilités scrutées, puis la détermination d'un "milieu".
D'un point de vue symbolique, une peut voir un problème résolu par une solution (aller-retour du curseur) .
Mais ce schéma est très limité aux principe qui vient d'etre décrit.

Ensuite dans un schéma plus complexe on peut se dire que cet "aller-retour", prise d'information-décision, effectuerait toujours le meme mouvement de balancier, car le "curseur" qui décrit ce mouvement EST l'entité qui nous sert de repère, et non le cercle et l'angle formé entre le cercle et le curseur.

Aisni s'initialise la notion de Dimensionnement, voulant pour etre simple, qu'une trame précise peut etre répliquée à l'infini de façon fractale, en réitérant toujours la meme action. Peu importe à quelle echelle se trouve la dimension etudiée, ce qui compte c'est ce qu'il y avait avant, et ce qu'il y aura après.


Nous possédons un angle mobile qui symbolise un fonctionnement.
Il est déjà arrivé souvent et cela s'avère de plus en plus nécessaire de faire appel à des descriptions schéma-symboliques pour communiquer un principe.

Nous avons appris de l'étude de la théorie des cordes combien il est important de bien spécifier le vocabulaire qui décrivent les principes, mais en réalité tous les principes énoncés étaient purement psychologiques.

Cette association m'a fait observer que la description schématique se trouvait, tout simplement, etre une réalité identique mais reportée à une dimension différente.
Supérieure ou inférieure, dans cette dimension il est question d'avoir un choix infini de possibilités pour décrire une meme chose.

Par exemple si un homme veut symboliser le soleil sans connaissance d'aucun langage commun avec son interlocuteur, il le fera à Sa manière, mais le message passera.
Quand je décris sur un graphique la position d'une armée, de la meme manière je "monte" d'un niveau afin d'observer les déroulements dans toute leur pureté, sans aucune influence directe.

Ce qui se passe lorsqu'on s'approche de la Réalité, on décrirait un graphique qui tend de plus en plus vers un autre graphique, sachant qu'à chaque étape franchie dans la réalisatition du graphique, nous sommes passés de "un" symbolique à "un" réel.

Par exemple je peux passer d'un schéma avec une armée de gens, à un listing recensant les positions.
Ensuite je peux réduire ces informations avec un code, le chiffre signifiant un individu, une lettre pour le lieu.
Evidemment, refaire le chemin inverse pour "déduire les parties", à partir, par exemple, d'une succession de chiffres et de lettres, ne mènera à aucun conclusion probante.
Il ne serait pas meme permis de croire que ce "langage" dit s'associer en réalité à un "délanguage", une sorte de décodeur, pour etre justement interprété.

Or il n'en est pas ainsi.
Lorsqu'une étape dimensionelle a été franchie, une grande "perte apparente" d'informations a lieu. Mais en réalité, cette information manquante n'est pas perdue, elle est stoquée mystérieusement.
"Il sera facile de la déduire".... (dit la nature)

En psychologie, il arrive parfois d'avoir des idées dont on aimerait se rappeler et dont on sait pourtant qu'elles s'enfouissent sous la poussière du temps, perdant d'autant de briant.
Cependant, encore une fois l'information n'est pas perdue, car le "concept" qui a fait naitre cette idée a été admit parmi les possibilités de la conscience.
Si bien qu'à tout moment on pourra se "resouvenir" peut etre pas précisément de la formulation, mais avec certitude du concept.
Dans ces cas-là je conseille de raccorder avec une ficelle la nouvelle idée apparue avec le réseau d'idées latentes, afin de s'en souvenir rapidement pour l'écrire par exemple. Il faut mettre l'idée en attente, ne pas meme essayer de la formater, mais raccorder le "fluide d'idées" à un mot-clefs qui sera facile à retenir.

Ensuite, dans la psychologie, l'usage simple de ce mot sous-entendra tout la large conception philosophique murmurée pendant la nuit, et qui semblait enfouie a jamais.

En réalité, aucune information n'est perdue au cours du déroulement de la Nature.
Nécessairement, sont soit stockés, soit déductible par la simple logique, l'ensemble des informations exprimant la réalité de notre monde.


On pourrait croire que cette escapade linguistique a pour effet de dire que le monde n'est pas réellement réel, ou quelque chose comme ça.
Peu importe en réalité mais il est très fortement question de placer dans les esprits les diverses possibilités qui nous sont offertes pour le comprendre.

Avec notre pantin schématique qui décrit la seule Logique, nous allons aborder sa façon d'aborder la réalité.
LA Logique, elle meme fonctionne indépendamment du temps. Il s'agit d'une suite consécutive de prise d'informations.
La formation de cet événement est la formation matérielle d'une structure.
La structure évolue au cours du temps, et la nature logique de cette réalité est tenue informée de "l'extérieur".

La formation matérielle de cette réalité existe dans le temps, et se renouvelle elle meme indéfiniment en tendant vers la perfection.
On peut croire que si le monde était stable, l'humanité aurait trouvé la perfection depuis longtemps.

Ce qui se passe, c'est que notre petit pantin logique se remodèle lui-meme, d'une manière infime, afin de produire par évolution "l'etre", ou la réalité la plus adaptée possible à "l'extérieur".

La bulle du temps serait donc comme un ventre maternel, où les choses se constituent.
Peu à peu, le renouvellement tend vers une solution qui doit pouvoir répondre de maniere universelle a toutes les situations pour exister.

C'est un peu ce qu'on peut appeler l'ascention, c'est à dire une prise de conscience qui concerne l'ensemble "dans son ensemble".
Dans la bulle du temps toutes les possibilités sont explorées, et guidées elles memes vers les possibilités de développement et d'évolution qui ont été reconnues comme les plus fiables.

Le "curseur" avance dans la bulle du Temps en formant une phylogénie, qui n'est rien d'autre qu'une déscription schématique du déploiement de la Nature.

Elle concerne autant les mathématiques de réseau que l'évolution d'une espece humaine, que l'apparition d'une idée, que l'aboutissement d'un concept.

Contrairement au curseur atemporel qui suit "une sorte" de cycle, où l'on peut voir deux sens opposés simultanément, dans la bulle du temps toute l'activité n'est rien d'autre qu'un concept replié sur lui-meme, (dépliée dans le temps - cad si l'observation est a l'interieur du temps).

Pour se le figurer, dans notre monde, on ne part par d'un point pour se séparer pour aller vers l'autre, mais on part du milieu, pour aller à la fin qui ramène au milieu.
Il y a un décalage dans la logique qui est dur à signifier mais qui est présent dans l'idée des demi-cercles.


J'ai vraiment l'impression de devoir envoyer une construction légo par la poste en exprimant cela, comme si j'avais mit les pieces detachées et le manuel dans une meme boite, et que je souhaitais au lecteur : "bonne chance !"

Pour en revenir au fonctionnement du monde, tout ceci amène a expliquer comment il faut distinguer ce qui est temporel de ce qui ne l'est pas.
Plus astucieux encore, il s'agit de distinguer ce qui est consécutif de ce qui est chronologique, car les deux n'ont pas de rapport apparent.

Une chose est sure : les choses ont lieu les unes après les autres, de manière séquentielle.
Bien entendu on pourrait considérer que toutes les choses ont lieu en meme temps, simultanément, et que notre "curseur" ou conscience suit l'une des voies du monde.

Au cours d'une vie apparait tout ce qui est apparu aux yeux de tous les hommes, et la valeur ajoutée s'appelle la Liberté. Elle enrichit le savoir.

Si on retrace une biographie, la chronologie ne serait que le premier pas, la prise d'information concernant les faits.
Ensuite, un autre classement apparait, une consécutivité dans les informations. Certaines pourraient se suivrent, ou du moins, dans un premier temps, etre assemblées par un meme facteur.

Après l'assemblage séquentiel, puis éventuellement hiérachique, il s'agit d'assembler les éléments selon des facteurs communs.
Si je devais créer un logiciel systeme pour remplacer windows, il s'agirait de pouvoir attribuer ces facteurs communs automatiquement + manellement a chaque fichier, afin de proposer un classement bien plus pratique que le hiérachique système.

Si la facteur commun est suffisamment astucieux, et on sait comme très vite le langage a toute son importance pour décrire le sens requis, il en faut de moins en moins pour associer tous les éléments, et, enfin, lorsque tous les éléments peuvent etre reliés par un facteur commun,

alors ce facteur commun devient la seule information retenue de l'opération.
Il la signifie, la représente, et l'explique.
Il décrit Cette réalité.

Cela peut paraitre aburde, si on ignore que dans les langues primitives, il est très courant et instinctif de désigner non pas les choses elles memes, mais des facteurs communs.
Dans les noms de famille aussi, le métier a parfois déteint sur le nom.

La différence est que, émergée, la réalité est devenue une idée. Elle ne se situe plus dans la bulle du temps, autant que sa nature n'y figurait pas non plus.

Nous avons bien distingué, en quelque sorte, "avant" la bulle du temps, à savoir "la nature", la réalité, qui est pour ce qui nous concerne, une évolution, et en troisième l'idée, qui est la finalité de toutes les réalisations.

En effet, quelle idée de vouloir situer le monde des idées en dehors du temps ? Et quelle conséquences ?
L'intéret, est que l'idéal est une réalité indéniable. ON SAIT qu'il existe toujours UNE solution idéale.
Meme si c'est dur pour ses echecs personnels de l'admettre.

De plus, cette réalité extérieure et consécutivement placée après la bulle du temps, est elle aussi en conformation, et peu à peu solidifie des Vérités.

l'idéal change au cours du temps, car cette formation "prévoit" ce que sera l'idée.
L'intéret également de situer un monde des idées à l'extérieur du temps (on pourrait situer la Nature extérieur et antécédante au Temps) est de leur permettre un point de vue "vertical", absolu, de l'ensemble du déroulement du monde du début à la fin.

Dans la Logique, il est nécessaire que la fin ait déjà informé le début afin qu'il SOIT.

Il est question de considérer l'homme dans ce cosmos.
Dans le fil du temps, l'apparition et la disparition d'un etre humain s'écrirait comme une ligne, commençant à un point et finissant à un autre.
Il faudrait peut etre signaler les relationnements avec les autres etres.

Mais le plus important à retenir, c'est que ce fonctionnement, cette vision permet d'envisager une distinction pour signaler que "la prise d'information" qui signifie le monde, représentée par un curseur qui avance, suit un parcours nécessairement consécutif, mais qui n'a rien de chronologique.

repetition : c'est peut etre pour cela que le temps existe, dans l'idée de recueillir librement les informations nécessaires.

Au cours d'une vie, ou d'une simple activité sportive, on en perçoit le meilleur moment qu'en ayant vécu l'ensemble.

Les théoriciens voudraient croire qu'ils pourront prouver la réalité du monde. Mais comment une balance peut elle se peser elle-meme ?

Grande question philosophique et déjà les idées coincent. Voici la solution : En la retournant !!


Dans l'idée des demi-cercles opposés de demi-taille, est présente l'idée de retournement (conditionné).
Cela m'a bien eclairci l'esprit de me dire qu'il falllait plutot considérer les choses d'une manière "inversée".

J'avais déjà entendu parler de cette spiritualité, selon laquelle certains pensent "à l'inverse" de la plupart. On peut donner plus de profondeur à ce sens en spécifiant qu'au lieu d'identifier la cause, l'individu déduit la Raison.
Il s'agit de retomber sur les memes conclusions que n'importe quel autre etre humain, mais en prenant un chemin opposé.

J'avais cru m'apercevoir que les idées sur lesquelles je me concentrait complotaient dans mon dos.
Au summum de ma période de eurekas, j'étais très nerveux, et en quelque sorte, avait l'impression de "me retourner" psychologiquement de plus en plus souvent.
A la fin j'ai compris qu'il fallait rester zen et j'ai été, comme je le disais, beaucoup plus calme.

L'objet de la concentration doit etre le dernier des soucis.
Si l'objet n'existe qu'aux yeux du monde, nous, etres du monde, faisons que les objets existent seulement en les regardant.
Ce faisant, l'ensemble du monde est remodelé pour exister simultanément à la réalité selon laquelle un homme regarde un objet.

Si on veut regarder le monde, il faut se placer dans une posture spirituelle très élevée, et tout à la fois ne pas regarder le monde, mais y penser seulement.

La focalisation par la pensée sur une réalité est la seule action qui ne la déforme pas.
C'est ainsi qu''on peut considérer que les déductions réqlisées a partir de certitudes sont elles aussi certaines, et ne nécessitent donc pas d'etre expérimentées pour etre prouvées.

Si on veut toucher le monde (télékinésie) il faut aussi se vider de l'objet, faire un processus inverse, c'est a dire alléger le monde. Mais si vous faites l'expérience vous vous rendrez compte que rien ne peut arriver car votre esprit n'est pas pret pour recevoir une telle information.

L'information doit pouvoir etre accueillie au sein d'une structure prévue a cet effet. L'information doit avoir une raison d'etre, et coincider avec le recepteur du message.

Si un tel événement a lieu, ce sera pour dire quelque chose, et ce le sera, parce que le moment sera venu.

Si j'y arrive tout seul dans le noir, m'etant préparé a recevoir cette réalité qui est somme toute simple a concevoir, quelle applications, comment tournerait mon discours ?

Je pense a ces pauvres medium qui sont des ultrasensibles a qui on demande comme a des rats de laboratoire d'avoir une idée, sans aucune considération humaine polie ou respectueuse. Comment déclencher un événement dans ces conditions ? Pourtant ils sont porteur de ce message, selon lequel il existe des bornes a la réalité.

Et tous les scientistes, qui isolent de la nature par leur psychologie formatée et à peine interrogative, et s'interrogent après en se demandant pourquoi c'est pas normal ?